Féminines
Samedi 11 Mars 2017 à 11h43
Audrey Chaumette: «Tout à gagner»
Pour le ¼ de finale de Coupe de France à Montpellier, l’attaquante stéphanoise entend jouer le coup à fond et tenter d’éliminer le MHSC sur ses terres.
Il faudra réaliser un petit exploit, ce dimanche, dans l’Hérault. Audrey Chaumette le sait et ne se dérobe pas : elle et le groupe d’Hervé Didier auront une carte à jouer dans ce ¼ de finale de Coupe de France, dimanche. Pour ce faire, l’aide de la meilleure buteuse de l’effectif stéphanois (6 buts en D1) ne sera pas de trop.
Comment le groupe aborde-t-il ce ¼ de finale de Coupe de France ?
Avec beaucoup d’envie. L’envie de réussir dans cette compétition qui est la Coupe de France, mais aussi l’envie de se rattraper de la mauvaise performance face à Albi en Championnat. Ce match a été une grosse déception. Un match de coupe est totalement différent d’une rencontre de D1. Il n y’a pas de gros ni de petits, pas de favori. C’est peut-être le moyen pour nous, sur un match à élimination directe, de jouer libérées et de retrouver toutes nos sensations.
Vous considérez-vous tout de même outsider face à Montpellier, actuel 3e du championnat ?
Jouer Montpellier à Montpellier, c’est un tirage difficile, c’est certain. Cependant, le match n’est pas joué. Ce sera difficile, mais pas insurmontable. Pour créer un exploit, il faudra les faire douter. Nous n’avons rien à perdre et tout à gagner.
Quel souvenir conserves-tu du match aller (0-3) ?
Nous étions repartis avec un score assez lourd par rapport à notre prestation. Face à une grosse écurie du championnat, nous avons pu tirer quelques enseignements : quand nous arrêtons de jouer pendant quinze minutes, la sentence est lourde. Il faut jouer pendant 95 minutes, faire des prestations complètes. Sinon, l’adversaire nous punit.
L’ASSE a réalisé de bons parcours en Coupe de France dans l’histoire récente (vainqueur en 2011, finaliste en 2013, demi-finaliste en 2015). Comment l’expliques-tu ?
Pour un club comme le nôtre, la Coupe de France est un moyen de pouvoir briller hors du Championnat, où les favoris chutent rarement. C’est une compétition que nous aimons, qui embellit nos saisons, qui nous fait engranger de la confiance et fait jouer la concurrence au sein du groupe.
Tu es la meilleure buteuse de l’équipe cette saison en Championnat (6 buts). As-tu passé un cap individuellement ?
On me donne plus de responsabilités en attaque. Cette année, je joue en pointe, le poste que je préfère et où je me sens le mieux. Je peux m’exprimer pleinement. Avec Maëlle Garbino qui se met au service du collectif, et qui me permet de marquer, c’est plus simple. Sarah (Palacin) est partie cet été mais rien n’a changé par rapport par rapport à moi. J’ai dû gagner ma place et me battre pour jouer. En marquant, j’ai engrangé de la confiance.
Coupe de France Féminine
¼ de finale
Montpellier HSC – ASSE
Dimanche 12 mars à 15h
Comment le groupe aborde-t-il ce ¼ de finale de Coupe de France ?
Avec beaucoup d’envie. L’envie de réussir dans cette compétition qui est la Coupe de France, mais aussi l’envie de se rattraper de la mauvaise performance face à Albi en Championnat. Ce match a été une grosse déception. Un match de coupe est totalement différent d’une rencontre de D1. Il n y’a pas de gros ni de petits, pas de favori. C’est peut-être le moyen pour nous, sur un match à élimination directe, de jouer libérées et de retrouver toutes nos sensations.
Vous considérez-vous tout de même outsider face à Montpellier, actuel 3e du championnat ?
Jouer Montpellier à Montpellier, c’est un tirage difficile, c’est certain. Cependant, le match n’est pas joué. Ce sera difficile, mais pas insurmontable. Pour créer un exploit, il faudra les faire douter. Nous n’avons rien à perdre et tout à gagner.
Quel souvenir conserves-tu du match aller (0-3) ?
Nous étions repartis avec un score assez lourd par rapport à notre prestation. Face à une grosse écurie du championnat, nous avons pu tirer quelques enseignements : quand nous arrêtons de jouer pendant quinze minutes, la sentence est lourde. Il faut jouer pendant 95 minutes, faire des prestations complètes. Sinon, l’adversaire nous punit.
L’ASSE a réalisé de bons parcours en Coupe de France dans l’histoire récente (vainqueur en 2011, finaliste en 2013, demi-finaliste en 2015). Comment l’expliques-tu ?
Pour un club comme le nôtre, la Coupe de France est un moyen de pouvoir briller hors du Championnat, où les favoris chutent rarement. C’est une compétition que nous aimons, qui embellit nos saisons, qui nous fait engranger de la confiance et fait jouer la concurrence au sein du groupe.
Tu es la meilleure buteuse de l’équipe cette saison en Championnat (6 buts). As-tu passé un cap individuellement ?
On me donne plus de responsabilités en attaque. Cette année, je joue en pointe, le poste que je préfère et où je me sens le mieux. Je peux m’exprimer pleinement. Avec Maëlle Garbino qui se met au service du collectif, et qui me permet de marquer, c’est plus simple. Sarah (Palacin) est partie cet été mais rien n’a changé par rapport par rapport à moi. J’ai dû gagner ma place et me battre pour jouer. En marquant, j’ai engrangé de la confiance.
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¼ de finale
Montpellier HSC – ASSE
Dimanche 12 mars à 15h
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