Le tout nouveau milieu de terrain stéphanois a été officiellement présenté à la presse ce mardi midi. Il est également revenu sur ses premiers jours en Vert.
Quelles sont tes premières impressions stéphanoises ?
Le groupe m’a très bien accueilli. Le staff est très présent. Il m’a aiguillé sur ses attentes à mon égard. Je suis arrivé en toute humilité car l’ASSE est un grand club. Que tous m’accueillent de la sorte fait vraiment chaud au cœur.
Pourquoi as-tu choisi l’ASSE ?
Je voulais privilégier l’aspect sportif à l’aspect financier. C’est une réflexion que j’ai eue en famille. J’ai eu des sollicitations en France et Angleterre mais, à Saint-Etienne, le discours du coach m’a convaincu. Le feeling est passé rapidement. Dans ma progression, je voulais intégrer un club du Top 5 français et je ne crois pas me tromper en disant que l’ASSE en fait partie. Les dirigeants voulaient me faire venir et ça a tout changé dans ma décision. Pour moi, c'est une nouvelle aventure. Une nouvelle ambition également.
Quels sont tes objectifs en Vert ?
L’ASSE est un club avec beaucoup d’ambition. Il y aura une coupe d’Europe à jouer et une nouvelle qualification européenne à aller chercher. A titre personnel, j’ai envie de faire une très bonne première saison ici. L’intégration peut-être un passage compliqué pour un nouveau joueur mais je suis dans des conditions optimales pour réussir.
Quel type de joueurs es-tu ?
Dans le vestiaire, je suis plutôt quelqu’un d’extraverti. Je pense être simple et ouvert à la discussion. Par contre, sur le terrain, j’ai la rage, et ça colle avec ce que le club attend de moi. Je vais tenter d’apporter de l’explosivité et de la percussion à l’équipe. Ici, il y a de l’expérience. Loïc (Perrin), Fabien (Lemoine), je n’arrive pas dans un groupe qui est novice.
Tu as joué à Geoffroy-Guichard avec Montpellier. Quelle image as-tu du Chaudron ?
Dans ce stade on ne peut pas s’entendre. Même à un mètre, il faut crier. La ferveur des supporters m’a marquée. C’est un stade où l’on se dit « waouh ! ». On sent que le public est derrière son équipe et qu’il y a une obligation de résultats. Quand je venais ici, ce qui ressortait, c’est la culture de la gagne.
