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Samedi 17 Sept. 2016 à 14h58
Christophe Galtier:«C’est bien de réagir mais il faut aussi agir»
Ce samedi, en conférence de presse, l'entraîneur des Verts est revenu sur le nul à Mayence (1-1) et ses choix tactiques avant d'évoquer Bastia, un adversaire qu'il juge plus performant que la saison dernière.
Deux joueurs après votre nul à Mayence (1-1) en UEFA Europa League, votre analyse du match a-t-elle évolué ?
Jeudi soir, à chaud, j'ai été critique parce que nous n'avons pas su mettre dans ce match les ingrédients qu'une rencontre européenne nécessite: l'intenstié et la détermination dans les duels. La saison dernière, nous avons disputé des matches de Coupe d'Europe avec un contenu plus intéressant. J'ai revu les images de notre nul à Mayence et je suis convaincu que nous avions les moyens de rapporter un meilleur résultat.
Grâce aux changements effectué en seconde période, votre équipe a pourtant pu recoller au score. Est-ce une vraie satisfaction?
Les entrants ont apporté une valeur ajoutée à l'équipe. Notre fin de match à Mayence m'a rappelé celle de Bordeaux. Nous avions observé notre adversaire et j'avais remarqué, en assistant à son dernier match de Bundesliga, qu'il pouvait être en difficulté, dans sa surface, sur des longs ballons. En deuxième mi-temps, nous avons donc pratiqué un jeu plius direct qui nous a permis d'égaliser.
Comment expliquez-vous que votre équipe s'adapte parfaitement aux changements de système effectués en cours de match?
Mon rôle est de trouver le meilleur schéma possible sans que les joueurs perdent leurs repères. J'ai à ma disposition un effectif pour évoluer dans plusieurs systèmes, en 4-2-3-1, 3-5-2 ou 3-4-1-2. Quand les résultats suivent, ces options renforcent les prises de décision.
La capacité de réaction de votre groupe constitue-t-elle, pour vous, un nouvel atout?
Notre capacité à revenir au score est liée à la qualité de l'effectif. Les changements opérés en cours de match n'affaiblissent pas l'équipe, bien au contraire. Mais nous ne devons pas être menés ou malmenés pour réagir. En tout cas, c'est bien de réagir mais il faut aussi agir. Les joueurs doivent prendre conscience que nous devons faire beaucoup mieux.
Quels sont les axes de progression de votre équipe?
Je dois trouver les meilleurs associations pour rendre l'équipe plus performante. Notre milieu de terrain doit aussi être un point fort pour que nos attaquants soient bien servis.
Quel regard portez-vous sur l'efficacité de Robert Beric?
Robert à l'instinct du buteur. Il est présent au bon endroit et opportuniste. Lorsqu'il marque à Mayence, il sait qu'Alexander Söderlund va gagner son duel. Robert est un joueur pour lequel le club a consenti un effort financier important. J'ai été impressionné par le professionnalisme dont il a fait preuve après sa blessure pour sa rééducation, sa préparation et son retour à la compétition. Je tiens aussi souligner le travail de notre staff médical. D'autres joueurs victimes de graves blessures, notamment Loïc Perrin, Paul Baysse et Max-Alain Gradel, ont été bien encadrés sur le plan médical, ici à Saint-Etienne, et ont pu revenir à un très bon niveau.
Quelles sont les qualités de Bastia, votre adversaire ce dimanche à Geoffroy-Guichard ?
C'est une équipe percutante ! Ils ont misé sur la jeunesse dans leur recrutement avec Enzo Crivelli, qui va beaucoup leur apporter, et Allan Saint-Maximin. Leur latéral gauche, Pierre Bengtsonn, est aussi une bonne recrue. C'est un joueur que nous avons suivi. L'équipe 2016-2017 de Bastia me semble supérieure à celle de la saison dernière.
Jeudi soir, à chaud, j'ai été critique parce que nous n'avons pas su mettre dans ce match les ingrédients qu'une rencontre européenne nécessite: l'intenstié et la détermination dans les duels. La saison dernière, nous avons disputé des matches de Coupe d'Europe avec un contenu plus intéressant. J'ai revu les images de notre nul à Mayence et je suis convaincu que nous avions les moyens de rapporter un meilleur résultat.
Grâce aux changements effectué en seconde période, votre équipe a pourtant pu recoller au score. Est-ce une vraie satisfaction?
Les entrants ont apporté une valeur ajoutée à l'équipe. Notre fin de match à Mayence m'a rappelé celle de Bordeaux. Nous avions observé notre adversaire et j'avais remarqué, en assistant à son dernier match de Bundesliga, qu'il pouvait être en difficulté, dans sa surface, sur des longs ballons. En deuxième mi-temps, nous avons donc pratiqué un jeu plius direct qui nous a permis d'égaliser.
Comment expliquez-vous que votre équipe s'adapte parfaitement aux changements de système effectués en cours de match?
Mon rôle est de trouver le meilleur schéma possible sans que les joueurs perdent leurs repères. J'ai à ma disposition un effectif pour évoluer dans plusieurs systèmes, en 4-2-3-1, 3-5-2 ou 3-4-1-2. Quand les résultats suivent, ces options renforcent les prises de décision.
La capacité de réaction de votre groupe constitue-t-elle, pour vous, un nouvel atout?
Notre capacité à revenir au score est liée à la qualité de l'effectif. Les changements opérés en cours de match n'affaiblissent pas l'équipe, bien au contraire. Mais nous ne devons pas être menés ou malmenés pour réagir. En tout cas, c'est bien de réagir mais il faut aussi agir. Les joueurs doivent prendre conscience que nous devons faire beaucoup mieux.
Quels sont les axes de progression de votre équipe?
Je dois trouver les meilleurs associations pour rendre l'équipe plus performante. Notre milieu de terrain doit aussi être un point fort pour que nos attaquants soient bien servis.
Quel regard portez-vous sur l'efficacité de Robert Beric?
Robert à l'instinct du buteur. Il est présent au bon endroit et opportuniste. Lorsqu'il marque à Mayence, il sait qu'Alexander Söderlund va gagner son duel. Robert est un joueur pour lequel le club a consenti un effort financier important. J'ai été impressionné par le professionnalisme dont il a fait preuve après sa blessure pour sa rééducation, sa préparation et son retour à la compétition. Je tiens aussi souligner le travail de notre staff médical. D'autres joueurs victimes de graves blessures, notamment Loïc Perrin, Paul Baysse et Max-Alain Gradel, ont été bien encadrés sur le plan médical, ici à Saint-Etienne, et ont pu revenir à un très bon niveau.
Quelles sont les qualités de Bastia, votre adversaire ce dimanche à Geoffroy-Guichard ?
C'est une équipe percutante ! Ils ont misé sur la jeunesse dans leur recrutement avec Enzo Crivelli, qui va beaucoup leur apporter, et Allan Saint-Maximin. Leur latéral gauche, Pierre Bengtsonn, est aussi une bonne recrue. C'est un joueur que nous avons suivi. L'équipe 2016-2017 de Bastia me semble supérieure à celle de la saison dernière.
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