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Vendredi 10 Mars 2017 à 15h50
Christophe Galtier: «Jouons comme en janvier»
L’entraîneur stéphanois veut retrouver l’allant du début d’année, qui avait permis à son équipe d’enchaîner les victoires et les belles prestations collectives.
Comment s’est déroulée la semaine d’entraînement ?
Les joueurs ont répondu présent. Ils à ce que nous avons pu leur proposer en séances. Il y a eu une grosse charge de travail. Je leur ai demandé de l’intensité, de la détermination et, surtout, de prendre beaucoup plus de risques dans le dernier geste. Individuellement, ils doivent être plus libérés.
Etes-vous contrarié par les blessures qui ont touché votre secteur offensif ?
Comme tout entraîneur, quand vous fondez des espoirs sur des joueurs ou des associations possibles et que, pour des raisons physiques, certains sont absents, vous avez des regrets. Mais, les premiers peinés, ce sont les joueurs eux-mêmes. Ils sont malheureux de ne pas jouer. Depuis deux saisons, nous avons été souvent victimes d’absences sur le plan offensif. Est-ce que ça aurait changé le cours des saisons ? C’est difficile à dire. Mais, quand Romain (Hamouma) est sur le terrain, quand Robert (Beric) et Alexander (Söderlund) sont en forme… Malheureusement, ça fait partie d’une saison, et même plus, dans notre cas.
Après Robert Beric, c'est Alexander Söderlund qui est de retour. Envisagez-vous de les associer ?
Robert et Alex sont deux joueurs avec de la présence physique, capables d’être dans la surface et adroits devant le but. Alex avait été intéressant avant sa blessure à Nice. Robert est en train de revenir. Ce sont deux joueurs qui peuvent être associés, comme nous l’avions fait dans des bouts de match, à Mayence, notamment. Robert (Beric) est mieux dans les séances. Quand on se crée des situations, la qualité et le travail font qu’elles seront à terme concrétisées. Il a envie d’être très utile.
Quelle analyse faîtes-vous des dernières semaines de compétition ?
Entre Montpellier, Caen et Bastia, nous n’avons pris qu’un point. C’est un constat. Sec, mais c’est un constat. En ne jouant qu’une seule fois par semaine, en étant professionnels et appliqués, nous devrons aller chercher des points à la maison et à l’extérieur. Faire le plein de points à domicile ne suffira pas. Un objectif de points ? Aucun. Actuellement, personne ne sait à partir de combien de points se jouera l’Europe.
Le FC Metz est-il un adversaire que vous craignez ?
Ils viennent de réaliser un recrutement important avec l’arrivée de Cheikh Diabaté. Il fixe, il marque, le jeu s’oriente autour de lui. Renaud (Cohade), lui, organise leurs attaques. Ils marquent beaucoup sur coups de pieds arrêtés, c’est une de leurs qualités. Après, je me concentre surtout sur ce que nous allons mettre de notre côté. Jouons comme en janvier, sans calculer, en avançant sur l’adversaire et en marquant des buts.
Quel regard portez-vous sur les dernières prestations de Benjamin Corgnet, qui a récemment réintégré le groupe ?
Benjamin (Corgnet) a toujours bien travaillé, efficace en CFA 2. Il bénéficie de certaines absences et de certains choix. Par rapport à ce que j’ai vu de lui en traînement et en match, je me dis qu’il a la possibilité de pouvoir s’exprimer en cette fin de saison sur plusieurs postes de l’attaque. Quand il est bien physiquement, il est capable de marquer des buts.
Comment avez-vous jugé les prestations de Ronaël Pierre-Gabriel et Habib Maïga, les deux latéraux qui ont débuté le match à Bastia (0-0) ?
A chaque fois que j’ai fait appel à Ronaël (Pierre-Gabriel), il a toujours répondu présent. Son entrée contre Caen a été intéressante. C’est un joueur sur lequel je fonde beaucoup d’espoirs. Habib (Maïga) a été une bonne surprise. J’avais opté pour le faire jouer arrière gauche car il avait beaucoup de jambes. Il a été efficace, bon défensivement, propre. Ce n’est pas son poste, mais ce fut une bonne surprise. Je pense que son avenir se situe dans l’entrejeu.
Les joueurs ont répondu présent. Ils à ce que nous avons pu leur proposer en séances. Il y a eu une grosse charge de travail. Je leur ai demandé de l’intensité, de la détermination et, surtout, de prendre beaucoup plus de risques dans le dernier geste. Individuellement, ils doivent être plus libérés.
Etes-vous contrarié par les blessures qui ont touché votre secteur offensif ?
Comme tout entraîneur, quand vous fondez des espoirs sur des joueurs ou des associations possibles et que, pour des raisons physiques, certains sont absents, vous avez des regrets. Mais, les premiers peinés, ce sont les joueurs eux-mêmes. Ils sont malheureux de ne pas jouer. Depuis deux saisons, nous avons été souvent victimes d’absences sur le plan offensif. Est-ce que ça aurait changé le cours des saisons ? C’est difficile à dire. Mais, quand Romain (Hamouma) est sur le terrain, quand Robert (Beric) et Alexander (Söderlund) sont en forme… Malheureusement, ça fait partie d’une saison, et même plus, dans notre cas.
Après Robert Beric, c'est Alexander Söderlund qui est de retour. Envisagez-vous de les associer ?
Robert et Alex sont deux joueurs avec de la présence physique, capables d’être dans la surface et adroits devant le but. Alex avait été intéressant avant sa blessure à Nice. Robert est en train de revenir. Ce sont deux joueurs qui peuvent être associés, comme nous l’avions fait dans des bouts de match, à Mayence, notamment. Robert (Beric) est mieux dans les séances. Quand on se crée des situations, la qualité et le travail font qu’elles seront à terme concrétisées. Il a envie d’être très utile.
Quelle analyse faîtes-vous des dernières semaines de compétition ?
Entre Montpellier, Caen et Bastia, nous n’avons pris qu’un point. C’est un constat. Sec, mais c’est un constat. En ne jouant qu’une seule fois par semaine, en étant professionnels et appliqués, nous devrons aller chercher des points à la maison et à l’extérieur. Faire le plein de points à domicile ne suffira pas. Un objectif de points ? Aucun. Actuellement, personne ne sait à partir de combien de points se jouera l’Europe.
Le FC Metz est-il un adversaire que vous craignez ?
Ils viennent de réaliser un recrutement important avec l’arrivée de Cheikh Diabaté. Il fixe, il marque, le jeu s’oriente autour de lui. Renaud (Cohade), lui, organise leurs attaques. Ils marquent beaucoup sur coups de pieds arrêtés, c’est une de leurs qualités. Après, je me concentre surtout sur ce que nous allons mettre de notre côté. Jouons comme en janvier, sans calculer, en avançant sur l’adversaire et en marquant des buts.
Quel regard portez-vous sur les dernières prestations de Benjamin Corgnet, qui a récemment réintégré le groupe ?
Benjamin (Corgnet) a toujours bien travaillé, efficace en CFA 2. Il bénéficie de certaines absences et de certains choix. Par rapport à ce que j’ai vu de lui en traînement et en match, je me dis qu’il a la possibilité de pouvoir s’exprimer en cette fin de saison sur plusieurs postes de l’attaque. Quand il est bien physiquement, il est capable de marquer des buts.
Comment avez-vous jugé les prestations de Ronaël Pierre-Gabriel et Habib Maïga, les deux latéraux qui ont débuté le match à Bastia (0-0) ?
A chaque fois que j’ai fait appel à Ronaël (Pierre-Gabriel), il a toujours répondu présent. Son entrée contre Caen a été intéressante. C’est un joueur sur lequel je fonde beaucoup d’espoirs. Habib (Maïga) a été une bonne surprise. J’avais opté pour le faire jouer arrière gauche car il avait beaucoup de jambes. Il a été efficace, bon défensivement, propre. Ce n’est pas son poste, mais ce fut une bonne surprise. Je pense que son avenir se situe dans l’entrejeu.
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