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Mercredi 05 Nov. 2014 à 17h22
Christophe Galtier : «On n’est plus dans l’inconnu»
L’entraîneur stéphanois estime que son équipe a progressé depuis le début de l’Europa League et réclame de la détermination et de la justesse technique pour battre l’Inter, ce jeudi. Ce qui constituerait, selon lui, un exploit.
Avez-vous ressenti une excitation particulière à l’approche de ce match face à l’Inter ?
J’ai d’abord ressenti une déception après notre prestation à Lille pour n’avoir pas été à la hauteur pendant les 90 minutes du match. Concernant le rendez-vous face à l’Inter, nous ne devons pas être dans l’excitation. Soyons concentrés, déterminés et justes dans le placement tactique et dans nos gestes techniques.
Etes-vous contrarié par les forfaits dans votre équipe ?
L’enchainement des matches génère de la fatigue mais également des blessures. Les forfaits réduisent la marge de manœuvre au milieu de terrain mais cela va permettre à d’autres joueurs de s’exprimer.
Votre prestation à San Siro peut-elle chasser les derniers complexes face à l’Inter ?
Oui. C’est une bonne base. On n’est plus dans l’inconnu. Mes joueurs ont été confrontés à un plan de jeu adverse. Jeudi soir, l’Inter évoluera peut-être dans une autre animation mais nous avons déjà des repères, tant sur le plan physique que technique. C’est un avantage. A Milan, nous avons réalisé une première mi-temps un peu timide dans un système de jeu qui réclamait un temps d’adaptation. Jeudi soir, il faudra être présent, certes dans la détermination, mais également dans la qualité de jeu car c’est ce qui nous a fait défaut au match aller lorsque l’Inter a baissé d’intensité. Nous aurions pu être beaucoup plus dangereux mais il nous a manqué de la concentration sur des gestes simples. De là à penser que nous aurions dû battre l’Inter… Je n’irai pas jusque-là.
Comment jugez-vous l’évolution de votre équipe depuis le début de l’Europa League ?
Nous sommes toujours en construction, à l’image du stade. Nous progressons. Nous avons mesuré ce que représentaient ces matches-là au niveau de l’intensité, d’engagement et de justesse. Nous sommes plus performants dans la répétition des matches. C’est important car la vraie progression ne se juge pas sur une seule compétition. Notre animation offensive va aller en s’améliorant.
«L’Inter n’est pas en crise. Cette équipe a un entraîneur et des joueurs qui connaissent et maitrisent ces situations-là»
Avez-vous une obligation de gagner pour rester en course pour une qualification pour les 16e de finale ?
Dire qu’il faut gagner pour se qualifier, c’est une évidence mais un match nul ne va pas nous éliminer. Mais, cela ne signifie pas que nous jouerons à dix derrière. Une victoire face à l’Inter serait très bénéfique au niveau comptable et mental
Comment évaluez-vous le rapport de forces face à l’Inter ?
L’Inter est premier du groupe et favori pour la qualification. De par son passé récent, c’est un club qui cherche à gagner des trophées chaque saison. Jouer l’Europe, c’est dans l’ADN de ce club. L’Inter n’est pas en crise. Cette équipe a un entraîneur et des joueurs qui connaissent et maitrisent ces situations-là
Ce rendez-vous se jouera dans un stade Geoffroy-Guichard à guichets fermés. Cela annonce une belle fête ?
La fête, elle appartient aux supporters. Nous ne nous préparons pas à faire une fête mais à être dans les meilleures dispositions pour battre l’Inter. Il faut prendre du plaisir à jouer ce genre de matches et tout faire pour le gagner. Battre l’Inter constituerait un exploit.
J’ai d’abord ressenti une déception après notre prestation à Lille pour n’avoir pas été à la hauteur pendant les 90 minutes du match. Concernant le rendez-vous face à l’Inter, nous ne devons pas être dans l’excitation. Soyons concentrés, déterminés et justes dans le placement tactique et dans nos gestes techniques.
Etes-vous contrarié par les forfaits dans votre équipe ?
L’enchainement des matches génère de la fatigue mais également des blessures. Les forfaits réduisent la marge de manœuvre au milieu de terrain mais cela va permettre à d’autres joueurs de s’exprimer.
Votre prestation à San Siro peut-elle chasser les derniers complexes face à l’Inter ?
Oui. C’est une bonne base. On n’est plus dans l’inconnu. Mes joueurs ont été confrontés à un plan de jeu adverse. Jeudi soir, l’Inter évoluera peut-être dans une autre animation mais nous avons déjà des repères, tant sur le plan physique que technique. C’est un avantage. A Milan, nous avons réalisé une première mi-temps un peu timide dans un système de jeu qui réclamait un temps d’adaptation. Jeudi soir, il faudra être présent, certes dans la détermination, mais également dans la qualité de jeu car c’est ce qui nous a fait défaut au match aller lorsque l’Inter a baissé d’intensité. Nous aurions pu être beaucoup plus dangereux mais il nous a manqué de la concentration sur des gestes simples. De là à penser que nous aurions dû battre l’Inter… Je n’irai pas jusque-là.
Comment jugez-vous l’évolution de votre équipe depuis le début de l’Europa League ?
Nous sommes toujours en construction, à l’image du stade. Nous progressons. Nous avons mesuré ce que représentaient ces matches-là au niveau de l’intensité, d’engagement et de justesse. Nous sommes plus performants dans la répétition des matches. C’est important car la vraie progression ne se juge pas sur une seule compétition. Notre animation offensive va aller en s’améliorant.
«L’Inter n’est pas en crise. Cette équipe a un entraîneur et des joueurs qui connaissent et maitrisent ces situations-là»
Avez-vous une obligation de gagner pour rester en course pour une qualification pour les 16e de finale ?
Dire qu’il faut gagner pour se qualifier, c’est une évidence mais un match nul ne va pas nous éliminer. Mais, cela ne signifie pas que nous jouerons à dix derrière. Une victoire face à l’Inter serait très bénéfique au niveau comptable et mental
Comment évaluez-vous le rapport de forces face à l’Inter ?
L’Inter est premier du groupe et favori pour la qualification. De par son passé récent, c’est un club qui cherche à gagner des trophées chaque saison. Jouer l’Europe, c’est dans l’ADN de ce club. L’Inter n’est pas en crise. Cette équipe a un entraîneur et des joueurs qui connaissent et maitrisent ces situations-là
Ce rendez-vous se jouera dans un stade Geoffroy-Guichard à guichets fermés. Cela annonce une belle fête ?
La fête, elle appartient aux supporters. Nous ne nous préparons pas à faire une fête mais à être dans les meilleures dispositions pour battre l’Inter. Il faut prendre du plaisir à jouer ce genre de matches et tout faire pour le gagner. Battre l’Inter constituerait un exploit.
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