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Vendredi 14 Avril 2017 à 12h51
Christophe Galtier: «Saisir l’opportunité»
L'entraîneur des Verts souligne l’importance de la confrontation directe face à l’OM ce dimanche (21h) au Vélodrome.
Le match face à l’OM sera-t-il décisif pour la fin de saison ?
Plus nous nous rapprochons de la fin, plus les matches ont de l’enjeu, d’autant plus que nous avons déjà grillé beaucoup de jokers. Lors de la phase retour, les deux équipes sont très proches. Marseille a une ambition européenne et l’avantage de recevoir. Contre les grosses équipes, nous avons su répondre présent. Nous avons la chance d’avoir une confrontation directe, certes à l’extérieur, mais l’opportunité existe. Il faut la saisir.
L’ASSE n’a plus gagné depuis presque 40 ans au Vélodrome…
En 1979, je m’en souviens, j’étais au stade. Dominique Rocheteau était sur le terrain, j’étais venu voir l’Ange Vert (rires) ! C’est un clin d’œil. Gagner là-bas serait idéal pour notre fin de saison, au-delà même du fait que nous réussissions peu à Marseille.
L’Europe est-elle toujours en ligne de mire ?
Depuis que je suis à l’ASSE, nous avons disputé 36 matches européens. S’il y a bien quelqu’un qui connaît l’importance de l’Europe à Saint-Etienne, c’est moi. Nous espérons nous qualifier une cinquième fois consécutive pour une Coupe d'Europe afin de vivre à nouveau de belles soirées. Marseille aussi veut se qualifier pour une Coupe d'Europe. Le stade, l’environnement, la ferveur autour des deux clubs montrent que la Coupe d'Europe fait partie de leur ADN. Mais je le répète : si nous n’atteignons pas cet objectif, le club ne sera pas en danger. Ne pas y arriver ne signife pas "ne pas vouloir".
Quel regard portez-vous sur l’OM ?
L’OM a beaucoup changé avec ses 50 millions d’euros d’investis durant le mercato d’hiver. Dans les statistiques, elle est à l’opposé de notre équipe : elle marque plus de buts que nous mais en encaisse plus. Cette équipe a évolué dans le bon sens, notamment dans l’équilibre que Rudi Garcia cherche à avoir dans le jeu. Je connais bien Bafé (Gomis). C’est un garçon attachant, un homme respectueux. Malgré les difficultés que nous traversions à l’époque, je l’avais trouvé sérieux, appliqué. Sa carrière et sa réussite cette saison ne constituent pas une surprise pour moi.
Un déplacement à Marseille, votre ville natale, reste-t-il un événement spécial ?
J’ai vu que les joueurs avec lesquels nous avons réussi la remontée à l’OM seront mis à l’honneur. Je vais retrouver Gérard Gili, qui a été mon formateur, mon entraîneur, et dont j’ai été l’adjoint. J’ai une relation très affective avec lui. Après, ce match restera un match entre Marseille et Saint-Etienne, c’est-à-dire une grosse affiche. C’est toujours un plaisir d’aller jouer au Vélodrome. L’OM, comme l’ASSE, est une équipe qui laisse rarement indifférents les gens.
Plus nous nous rapprochons de la fin, plus les matches ont de l’enjeu, d’autant plus que nous avons déjà grillé beaucoup de jokers. Lors de la phase retour, les deux équipes sont très proches. Marseille a une ambition européenne et l’avantage de recevoir. Contre les grosses équipes, nous avons su répondre présent. Nous avons la chance d’avoir une confrontation directe, certes à l’extérieur, mais l’opportunité existe. Il faut la saisir.
L’ASSE n’a plus gagné depuis presque 40 ans au Vélodrome…
En 1979, je m’en souviens, j’étais au stade. Dominique Rocheteau était sur le terrain, j’étais venu voir l’Ange Vert (rires) ! C’est un clin d’œil. Gagner là-bas serait idéal pour notre fin de saison, au-delà même du fait que nous réussissions peu à Marseille.
L’Europe est-elle toujours en ligne de mire ?
Depuis que je suis à l’ASSE, nous avons disputé 36 matches européens. S’il y a bien quelqu’un qui connaît l’importance de l’Europe à Saint-Etienne, c’est moi. Nous espérons nous qualifier une cinquième fois consécutive pour une Coupe d'Europe afin de vivre à nouveau de belles soirées. Marseille aussi veut se qualifier pour une Coupe d'Europe. Le stade, l’environnement, la ferveur autour des deux clubs montrent que la Coupe d'Europe fait partie de leur ADN. Mais je le répète : si nous n’atteignons pas cet objectif, le club ne sera pas en danger. Ne pas y arriver ne signife pas "ne pas vouloir".
Quel regard portez-vous sur l’OM ?
L’OM a beaucoup changé avec ses 50 millions d’euros d’investis durant le mercato d’hiver. Dans les statistiques, elle est à l’opposé de notre équipe : elle marque plus de buts que nous mais en encaisse plus. Cette équipe a évolué dans le bon sens, notamment dans l’équilibre que Rudi Garcia cherche à avoir dans le jeu. Je connais bien Bafé (Gomis). C’est un garçon attachant, un homme respectueux. Malgré les difficultés que nous traversions à l’époque, je l’avais trouvé sérieux, appliqué. Sa carrière et sa réussite cette saison ne constituent pas une surprise pour moi.
Un déplacement à Marseille, votre ville natale, reste-t-il un événement spécial ?
J’ai vu que les joueurs avec lesquels nous avons réussi la remontée à l’OM seront mis à l’honneur. Je vais retrouver Gérard Gili, qui a été mon formateur, mon entraîneur, et dont j’ai été l’adjoint. J’ai une relation très affective avec lui. Après, ce match restera un match entre Marseille et Saint-Etienne, c’est-à-dire une grosse affiche. C’est toujours un plaisir d’aller jouer au Vélodrome. L’OM, comme l’ASSE, est une équipe qui laisse rarement indifférents les gens.
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