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Vendredi 26 Janv. 2018 à 15h09
Jean-Louis Gasset : «Nous ne jouerons que des matches difficiles»
Si l’ASSE présente désormais toutes les qualités nécessaires grâce à son mercato, Jean-Louis Gasset espère que les Verts auront ce petit brin de folie pour s’imposer face à Caen.
Le mercato est-il clos ?
Il peut encore se passer plein de choses jusqu’au 31 janvier. Pour le bonheur de tous, j’aimerais que le groupe soit plus restreint car avec un groupe de 25 joueurs, le reste de la saison va être long pour ceux qui ne sont pas dans l’équipe type.
Avez-vous débriefé le match contre Troyes avec votre groupe ?
On l’a fait avec l’ensemble des joueurs, comme on a l’habitude de le faire. Sur les deux derniers matches, je n’ai pas grand-chose à reprocher aux joueurs en termes d’état d’esprit et d’investissement. Mais il y a encore quelques progrès à faire pour décrocher une victoire. En 2018, à part la rencontre faceà Metz, je sens une progression. Les nouveaux joueurs nous apportent l’expérience, la technique, l’habitude des matches à pression.
A quel point la rencontre face à Caen vous paraît-elle importante ?
C’est un match important mais nous ne jouerons que des matches difficiles d’ici la fin de saison. C’est le lot des équipes qui démarrent mal leur saison. Aujourd’hui, notre équipe paraît cohérente sur un tableau noir, maintenant il faut qu’elle joue et qu’elle gagne. Les équipes mal classées savent qu’elles joueront toute la saison des matches couperets. Quand je vois nos prestations à Nice et Troyes, je me dis qu’on est, nous aussi, capables de se mettre en mode survie. Ce que les autres équipes n’ont pas, c’est notre public. J’espère que demain tout le monde sera à la hauteur, les joueurs en premier lieu et les supporters aussi.
Quel regard portez-vous sur votre adversaire ?
Ils ont un jeu très direct sur Santini et Rodelin qui tourne autour. Ils sont bons sur coups de pied arrêtés et ils ont Féret au milieu de terrain qui est un très bon joueur. Il faudra présenter le même visage qu’à Nice avec un petit plus de folie.
Il peut encore se passer plein de choses jusqu’au 31 janvier. Pour le bonheur de tous, j’aimerais que le groupe soit plus restreint car avec un groupe de 25 joueurs, le reste de la saison va être long pour ceux qui ne sont pas dans l’équipe type.
Avez-vous débriefé le match contre Troyes avec votre groupe ?
On l’a fait avec l’ensemble des joueurs, comme on a l’habitude de le faire. Sur les deux derniers matches, je n’ai pas grand-chose à reprocher aux joueurs en termes d’état d’esprit et d’investissement. Mais il y a encore quelques progrès à faire pour décrocher une victoire. En 2018, à part la rencontre faceà Metz, je sens une progression. Les nouveaux joueurs nous apportent l’expérience, la technique, l’habitude des matches à pression.
A quel point la rencontre face à Caen vous paraît-elle importante ?
C’est un match important mais nous ne jouerons que des matches difficiles d’ici la fin de saison. C’est le lot des équipes qui démarrent mal leur saison. Aujourd’hui, notre équipe paraît cohérente sur un tableau noir, maintenant il faut qu’elle joue et qu’elle gagne. Les équipes mal classées savent qu’elles joueront toute la saison des matches couperets. Quand je vois nos prestations à Nice et Troyes, je me dis qu’on est, nous aussi, capables de se mettre en mode survie. Ce que les autres équipes n’ont pas, c’est notre public. J’espère que demain tout le monde sera à la hauteur, les joueurs en premier lieu et les supporters aussi.
Quel regard portez-vous sur votre adversaire ?
Ils ont un jeu très direct sur Santini et Rodelin qui tourne autour. Ils sont bons sur coups de pied arrêtés et ils ont Féret au milieu de terrain qui est un très bon joueur. Il faudra présenter le même visage qu’à Nice avec un petit plus de folie.
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