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Vendredi 16 Déc. 2016 à 17h55
Jessy Moulin: «Faire deux bons matches»
Titulaire lors des deux derniers matches avant la trêve, le gardien des Verts entend s'appuyer sur ces bonnes prestations en UEFA Europa League pour assurer l'intérim.
Face à Lorient puis contre Nancy, vous allez remplacer Stéphane Ruffier, blessé. Que ressentez-vous?
Je suis bien évidemment content de pouvoir jouer mais je ne peux en aucun me réjouir de la blessure de Stéphane. Cela fait quatre ans et demi que je ne joue pas de match de Ligue 1 mais j’ai eu la chance d’en jouer quatre en Europa League, avec un enjeu important. Je n’ai donc pas de pression à avoir.»
Est-ce difficile de prendre le relais d'un gardien qui enchaîne les performances?
Les performances de Stéphane sont en effet remarquables, mais je ne vais pas me mettre la pression en me disant que je dois être aussi bon que lui. Je ferai ce que je sais faire. Ce serait prétentieux de dire que je vais faire aussi bien que lui. Il a joué beaucoup de matches, acquis une régularité et une constance dans ses performances qui forcent le respect. J’ai toujours figuré dans l’équipe, que ce soit comme deuxième gardien et quelques fois comme titulaire. Ce qui m’importe, c’est de donner le maximum et faire de mon mieux. Il y a encore deux rencontres avant la trêve, l’objectif est de bien finir l’année en championnat, dans le jeu et au niveau des résultats.»
Le coach a affirmé que vous aviez gagné la confiance du vestiaire. Est-ce une satisfaction?
J’ai eu la chance, en début de saison, de prouver sur le terrain que mes coéquipiers pouvaient compter sur moi. Je pense que mon entrée en jeu contre le Beitar y a contribué. J’ai essayé d'être à la hauteur et j’espère l’avoir fait, en dégageant de la sérénité. Mon objectif était de ne pas prendre de but, de transmettre de la confiance au coach et au staff. J'ai accueilli ma récente prolongation de contrat comme une marque de confiance. Je suis encore plus serein.
Je suis bien évidemment content de pouvoir jouer mais je ne peux en aucun me réjouir de la blessure de Stéphane. Cela fait quatre ans et demi que je ne joue pas de match de Ligue 1 mais j’ai eu la chance d’en jouer quatre en Europa League, avec un enjeu important. Je n’ai donc pas de pression à avoir.»
Est-ce difficile de prendre le relais d'un gardien qui enchaîne les performances?
Les performances de Stéphane sont en effet remarquables, mais je ne vais pas me mettre la pression en me disant que je dois être aussi bon que lui. Je ferai ce que je sais faire. Ce serait prétentieux de dire que je vais faire aussi bien que lui. Il a joué beaucoup de matches, acquis une régularité et une constance dans ses performances qui forcent le respect. J’ai toujours figuré dans l’équipe, que ce soit comme deuxième gardien et quelques fois comme titulaire. Ce qui m’importe, c’est de donner le maximum et faire de mon mieux. Il y a encore deux rencontres avant la trêve, l’objectif est de bien finir l’année en championnat, dans le jeu et au niveau des résultats.»
Le coach a affirmé que vous aviez gagné la confiance du vestiaire. Est-ce une satisfaction?
J’ai eu la chance, en début de saison, de prouver sur le terrain que mes coéquipiers pouvaient compter sur moi. Je pense que mon entrée en jeu contre le Beitar y a contribué. J’ai essayé d'être à la hauteur et j’espère l’avoir fait, en dégageant de la sérénité. Mon objectif était de ne pas prendre de but, de transmettre de la confiance au coach et au staff. J'ai accueilli ma récente prolongation de contrat comme une marque de confiance. Je suis encore plus serein.
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