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Vendredi 18 Nov. 2016 à 15h29
Jordan Veretout: «Ma simplicité, c'est ma force»
Discret mais sincère, le milieu de terrain arrivé cet été à Saint-Etienne s’est parfaitement intégré au groupe stéphanois. Originaire d’un petit village de Loire-Atlantique, Jordan Veretout s’est construit au FC Nantes, avant de découvrir la Premier League et l’ASSE. Sans jamais se défaire de son caractère humble et simple.
On ne peut pas parler de Jordan Veretout sans parler de Belligné…
Oui, c’est mon village, mon repère. Là-bas, les gens sont chaleureux, conviviaux, ils véhiculent beaucoup de valeurs. Ce qui correspond à l’éducation que j’ai eue : simple mais humaine. J’ai choisi de vivre près de Saint-Etienne après mon arrivée à l’ASSE, dans un endroit qui ressemble beaucoup à Belligné. C’est un petit clin d’œil.
Comment t’es venue la passion du football ?
Mon père était éducateur dans un petit club. C’est lui qui m’a initié à la pratique du football. J’ai démarré dans mon village, avant d’intégrer le centre de formation du FC Nantes. Ce furent des moments importants. J’en prends conscience maintenant que je suis professionnel. Mes parents m’emmenaient plusieurs fois par semaine à l’entraînement, alors que je vivais à 50 kilomètres de Nantes, puis à la Beaujoire, les soirs de matches. Si j’ai pu faire du football mon métier, c’est avant tout grâce à eux et leurs sacrifices.
LISEZ TOUTE L'INTERVIEW DANS ASSE ACTUS, LE PROGRAMME DE MATCH OFFICIEL, DISPONIBLE GRATUITEMENT EN KIOSQUE AVEC LA TRIBUNE-LE PROGRÈS
Oui, c’est mon village, mon repère. Là-bas, les gens sont chaleureux, conviviaux, ils véhiculent beaucoup de valeurs. Ce qui correspond à l’éducation que j’ai eue : simple mais humaine. J’ai choisi de vivre près de Saint-Etienne après mon arrivée à l’ASSE, dans un endroit qui ressemble beaucoup à Belligné. C’est un petit clin d’œil.
Comment t’es venue la passion du football ?
Mon père était éducateur dans un petit club. C’est lui qui m’a initié à la pratique du football. J’ai démarré dans mon village, avant d’intégrer le centre de formation du FC Nantes. Ce furent des moments importants. J’en prends conscience maintenant que je suis professionnel. Mes parents m’emmenaient plusieurs fois par semaine à l’entraînement, alors que je vivais à 50 kilomètres de Nantes, puis à la Beaujoire, les soirs de matches. Si j’ai pu faire du football mon métier, c’est avant tout grâce à eux et leurs sacrifices.
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