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Mercredi 23 Nov. 2016 à 17h32
«Le public stéphanois est le meilleur public de France»
De passage à l'Etrat pour la conférence de presse d'avant-match, Gaëtan Bussmann, le latéral français de Mayence, a souligné la qualité de l'ambiance du Chaudron. Son entraîneur, Martin Schmidt, s'est montré plus pragmatique. Il aborde ce duel comme une finale.
Mayence est obligé de s’imposer, jeudi soir, dans le Chaudron. Avec 5 points au compteur, soit trois de moins qu’Anderlecht et l’ASSE, les Allemands ne peuvent plus perdre de temps. «Nous sommes impatients de disputer ce match et nous en connaissons l’importance, a avoué Martin Schmidt, l’entraîneur suisse du FSV. Ce sera comme une finale. »
A l’aller (1-1), en septembre dernier, les Stéphanois avaient obtenu un valeureux nul après être revenus à égalité dans les dernières secondes. Sur un long ballon de Kévin Théophile-Catherine, Alexander Söderlund avait dévié le ballon de la tête et mis en position idéale Robert Beric, qui n’avait pas laissé passer l'occasion. « Il faudra mieux défendre lors des trois dernières minutes du match, a expliqué, dans un sourire, l’entraîneur helvète. A l’aller, nous avons été capables de jouer mais sans assurer la victoire. Nous avons tiré les leçons de cette rencontre, nous savons à quoi nous attendre. »
Lourdement battu à Anderlecht lors de la 4e journée de la phase de groupes (1-6), Mayence a littéralement sombré en fin de rencontre, encaissant trois buts après la 89e minute. Un mauvais souvenir que Martin Schmidt veut reléguer aux oubliettes. « La meilleure chose à faire est d’oublier notre match à Anderlecht, a-t-il déclaré. Nous avons été la meilleure équipe pendant 85 minutes mais nous avons manqué de précision dans les 30 derniers mètres. Il faut attaquer et défendre avec tous nos joueurs de champ. Nous n’avons pas très bien défendu et nous en avons payé les conséquences. »
Né en Suisse, Martin Schmidt (49 ans) connaît bien le football français et a détecté quelques qualités qui, selon lui, font la force des équipes tricolores engagées dans les compétitions européennes. « J’ai un rapport particulier avec le football français. Je l’ai beaucoup suivi quand j’étais plus jeune. Pour moi, il n’y a pas de football supérieur à l’autre. L’allemand n’est pas supérieur au français, il est différent. Les équipes sont bien organisées en France. En Allemagne, le football est davantage porté vers l’avant. Ce qui correspond à notre style. »
Aux côtés de son coach, Gaétan Bussmann, formé au FC Metz, connait également bien l’ASSE, qu’il a affronté avec le club grenat. « Un mauvais souvenir, a avoué le défenseur latéral français. Nous avions perdu 2-0 mais je me souviens de l’ambiance de Geoffroy-Guichard. Pour moi, le public stéphanois est le meilleur de France. »
Alors qu’on lui demandait de ressortir une individualité dans l’effectif de Christophe Galtier, Gaêtan Bussmann a préféré mettre en avant le collectif stéphanois, la force des Verts selon lui. « Saint-Etienne possède un effectif assez fourni. Ils sont rapides sur le côté et jouent vraiment en équipe. Sur ce point-là, ils nous ressemblent. Leur force est collective. » Pour l’ancien messin, les données du problème sont tout de même clairs : « L’objectif est de gagner et de se donner une chance de qualification face à Qäbälä. »
A l’aller (1-1), en septembre dernier, les Stéphanois avaient obtenu un valeureux nul après être revenus à égalité dans les dernières secondes. Sur un long ballon de Kévin Théophile-Catherine, Alexander Söderlund avait dévié le ballon de la tête et mis en position idéale Robert Beric, qui n’avait pas laissé passer l'occasion. « Il faudra mieux défendre lors des trois dernières minutes du match, a expliqué, dans un sourire, l’entraîneur helvète. A l’aller, nous avons été capables de jouer mais sans assurer la victoire. Nous avons tiré les leçons de cette rencontre, nous savons à quoi nous attendre. »
Lourdement battu à Anderlecht lors de la 4e journée de la phase de groupes (1-6), Mayence a littéralement sombré en fin de rencontre, encaissant trois buts après la 89e minute. Un mauvais souvenir que Martin Schmidt veut reléguer aux oubliettes. « La meilleure chose à faire est d’oublier notre match à Anderlecht, a-t-il déclaré. Nous avons été la meilleure équipe pendant 85 minutes mais nous avons manqué de précision dans les 30 derniers mètres. Il faut attaquer et défendre avec tous nos joueurs de champ. Nous n’avons pas très bien défendu et nous en avons payé les conséquences. »
Né en Suisse, Martin Schmidt (49 ans) connaît bien le football français et a détecté quelques qualités qui, selon lui, font la force des équipes tricolores engagées dans les compétitions européennes. « J’ai un rapport particulier avec le football français. Je l’ai beaucoup suivi quand j’étais plus jeune. Pour moi, il n’y a pas de football supérieur à l’autre. L’allemand n’est pas supérieur au français, il est différent. Les équipes sont bien organisées en France. En Allemagne, le football est davantage porté vers l’avant. Ce qui correspond à notre style. »
Aux côtés de son coach, Gaétan Bussmann, formé au FC Metz, connait également bien l’ASSE, qu’il a affronté avec le club grenat. « Un mauvais souvenir, a avoué le défenseur latéral français. Nous avions perdu 2-0 mais je me souviens de l’ambiance de Geoffroy-Guichard. Pour moi, le public stéphanois est le meilleur de France. »
Alors qu’on lui demandait de ressortir une individualité dans l’effectif de Christophe Galtier, Gaêtan Bussmann a préféré mettre en avant le collectif stéphanois, la force des Verts selon lui. « Saint-Etienne possède un effectif assez fourni. Ils sont rapides sur le côté et jouent vraiment en équipe. Sur ce point-là, ils nous ressemblent. Leur force est collective. » Pour l’ancien messin, les données du problème sont tout de même clairs : « L’objectif est de gagner et de se donner une chance de qualification face à Qäbälä. »
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