Le défenseur latéral formé à l’ASSE a fêté fin 2016 sa première année complète avec le groupe professionnel. Il pose un regard sincère sur son expérience dans l’élite.
Sais-tu à quoi elle correspond la date du 29 novembre 2015 ?
(Rapidement) Mes débuts en professionnel. Contre Guingamp, à Geoffroy-Guichard.
Te souviens-tu précisément de ce premier match ?
Bien sûr. Déjà, faire partie du groupe avait été une bonne surprise. Deux heures avant le coup d’envoi, le coach m’a convoqué. Il m’a dit «Aujourd’hui, tu joues». A ce moment-là, la pression commence à monter. Je n’avais que trois semaines d’entraînement avec le groupe, même pas dix matches avec l’équipe réserve. Tout est allé très vite.
Avant ce premier match, tu étais arrivé en 2014 au centre de formation. Pourquoi avoir choisi l’ASSE ?
Mon père est supporter de Saint-Etienne depuis toujours. Même à Paris, où ma famille habite, il suivait l’ASSE. Nous sommes Antillais et, là-bas, beaucoup de gens supportent les Verts. L’Inter Milan me suivait également. Mais… (il sourit). C’était trop grand. Je ne me voyais pas brûler les étapes, partir en Italie aussi jeune.
RETROUVEZ L'INTÉGRALITÉ DE L'INTERVIEW DANS LE PROGRAMME DE MATCH OFFICIEL DISTRIBUÉ GRATUITEMENT EN KIOSQUES AVEC LA TRIBUNE-LE PROGRÈS