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Mercredi 04 Janv. 2017 à 14h30
Thierry Cotte: «Une bonne remise en route»
Alors que les Verts sont actuellement en stage en Espagne, Thierry Cotte, préparateur physique de l’ASSE évoque cette phase de reprise si particulière, qui suit la trêve hivernale.
Qu’attendez-vous de cette première semaine d'entraînement ?
Dès lundi matin, les joueurs ont effectué la traditionnelle pesée, puis ont subi une prise de sang, pris le petit-déjeuner avant de reprendre contact avec le terrain : footing de vingt minutes, travail technique individuel et collectif, conservation de balle. Le travail en salle a clos la séance avec une séance de musculation du bas et du haut. Nous espérons que les joueurs puissent vite récupérer leur endurance spécifique : capacité à soutenir une intensité de match pendant 90 minutes, voire plus. Si nous ne sollicitons plus le corps, celui-ci perd en intensité. Il faut donc le solliciter de manière croissante pour ne pas le surprendre. Cette marche reste élevée. D’où l’importance que la première séance de lundi ait été intermédiaire par rapport au programme spécifique effectué pendant les vacances et aux séances effectuées ce mardi.
Durant la trêve, les joueurs ont été amenés à s’alimenter différemment et à être moins exigeants sportivement. En quoi consistait leur programme d’entretien ?
Les joueurs devaient réaliser quatre séances d’entraînement progressives et croissantes en terme d'intensité, basées sur des footings, des courses fractionnées. Ils avaient aussi un petit programme d’entretien musculaire à effectuer.
On sait que les températures sont souvent fraîches en ce début d’année et les terrains, gelés ou gras. Comment intégrez-vous ces données ?
Lundi, à L'Etrat, nous nous sommes entraînés sur un terrain synthétique. Ce qui peut poser problème aux joueurs, ce sont les changements de terrain notamment pour leurs articulations qui souffrent. Le stage en Espagne permet aux joueurs de s’entraîner sur une surface en herbe non gelée.
L’ASSE retrouvera un rythme moins soutenu au mois de janvier, avec un match par semaine, avant d’attaquer un mois de février plus chargé. Ces rencontres espacées durant le mois de janvier peuvent-elles permettre aux joueurs de reprendre progressivement la compétition tout en préservant justement les organismes ?
Cela va surtout nous permettre de bien retravailler sur le plan physique comme sur le plan technico-tactique, répéter les gammes et accentuer les automatismes entre joueurs. Avec un match tous les trois jours, nous étions jusque-là sur du management lié à la récupération. Je vais également faire beaucoup plus travailler ceux qui jouent moins.
Dès lundi matin, les joueurs ont effectué la traditionnelle pesée, puis ont subi une prise de sang, pris le petit-déjeuner avant de reprendre contact avec le terrain : footing de vingt minutes, travail technique individuel et collectif, conservation de balle. Le travail en salle a clos la séance avec une séance de musculation du bas et du haut. Nous espérons que les joueurs puissent vite récupérer leur endurance spécifique : capacité à soutenir une intensité de match pendant 90 minutes, voire plus. Si nous ne sollicitons plus le corps, celui-ci perd en intensité. Il faut donc le solliciter de manière croissante pour ne pas le surprendre. Cette marche reste élevée. D’où l’importance que la première séance de lundi ait été intermédiaire par rapport au programme spécifique effectué pendant les vacances et aux séances effectuées ce mardi.
Durant la trêve, les joueurs ont été amenés à s’alimenter différemment et à être moins exigeants sportivement. En quoi consistait leur programme d’entretien ?
Les joueurs devaient réaliser quatre séances d’entraînement progressives et croissantes en terme d'intensité, basées sur des footings, des courses fractionnées. Ils avaient aussi un petit programme d’entretien musculaire à effectuer.
On sait que les températures sont souvent fraîches en ce début d’année et les terrains, gelés ou gras. Comment intégrez-vous ces données ?
Lundi, à L'Etrat, nous nous sommes entraînés sur un terrain synthétique. Ce qui peut poser problème aux joueurs, ce sont les changements de terrain notamment pour leurs articulations qui souffrent. Le stage en Espagne permet aux joueurs de s’entraîner sur une surface en herbe non gelée.
L’ASSE retrouvera un rythme moins soutenu au mois de janvier, avec un match par semaine, avant d’attaquer un mois de février plus chargé. Ces rencontres espacées durant le mois de janvier peuvent-elles permettre aux joueurs de reprendre progressivement la compétition tout en préservant justement les organismes ?
Cela va surtout nous permettre de bien retravailler sur le plan physique comme sur le plan technico-tactique, répéter les gammes et accentuer les automatismes entre joueurs. Avec un match tous les trois jours, nous étions jusque-là sur du management lié à la récupération. Je vais également faire beaucoup plus travailler ceux qui jouent moins.
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