Que cette saison aura été particulière... Après la tristesse de la relégation, les Verts auront connu la difficulté de la Ligue 2 BKT. Un championnat âpre, où le jeu n'est pas toujours récompensé. Longtemps, cette saison, l'ASSE aura été loin, très loin de son standing. Longtemps, les Verts auront été les mauvais élèves, les vaincus du week-end. Et puis un vent nouveau est arrivé, le déclic a marqué un mois de février qu'il fallait bien négocier. À l'heure de faire le bilan, il faut d'abord s'appuyer sur ce qui a bien fonctionné. Apprendre, bien sûr, grandir grâce à cette saison aux deux visages. Et se vouloir positif, à l'image d'Anthony Briançon, le capitaine stéphanois et ses "bons présages pour notre avenir".
Vendredi 2 juin à 20h45
Havre AC – Dijon FCO
FC Metz – SC Bastia
Girondins de Bordeaux – Rodez AF (match directeur)
Amiens SC – Stade Lavallois
Grenoble Foot 38 – EA Guingamp
Nîmes Olympique – FC Sochaux-Montbéliard
Chamois Niortais – Quevilly-Rouen
Paris FC – FC Annecy
Pau FC – SM Caen
AS Saint-Etienne – Valenciennes FC
Comme le veut la tradition, les 20 équipes de Ligue 2 BKT se retrouveront toutes le même jour, à la même heure. Si certaines joueront l'esprit tranquille, le maintien ou le Top 10 étant déjà assuré, d'autres se rongeront les ongles jusqu'au bout de la nuit. Parmi elles, les trois candidats à la montée : Le Havre, Metz et Bordeaux. Les Normands, leaders du championnat depuis des mois, peuvent tout perdre. Mais un nul, face à des Dijonnais qui joueront leur survie, suffirait. Un nul ne suffira par contre pas à Metz, dans le cas où Bordeaux venait à l'emporter. Mais si les Messins ont rendez-vous face à Bastia, une équipe libérée de toute pression, les Bordelais, eux, accueilleront Rodez, un club pas encore maintenu.
Dijon, Rodez... et d'autres font d'ailleurs partie des six équipes qui tenteront de ne pas faire partie du duo de malheureux, relégué en National aux côtés de Nîmes et Niort. Concrètement, de Valenciennes au DFCO, tout le monde s'apprête à trembler. Certains probablement plus que d'autres, notamment en raison du goal-average de Pau et Laval (-13). Les Palois accueilleront Caen tandis que Laval ira à Amiens. Enfin, Annecy, qui a fait le plus dur en atteignant les 45 points grâce à deux succès face au HAC puis Bordeaux, tentera de son côté de valider son maintien sur la pelouse du PFC.
Flirtant dangereusement avec la zone rouge vermillon de relégation, voici une dizaine de jours encore, le club nordiste a retrouvé des couleurs. Une touche de vert de l'espoir après avoir broyé du noir, longtemps, trop longtemps. Lors de leurs sept dernières sorties, les Nordistes n'ont essuyé qu'un seul échec, face à Bordeaux (0-2), partageant les points à trois reprises et s'imposant par ailleurs trois fois. Sous l'impulsion d'Ahmed Kantari, V.A. a redressé la barre et demeure ainsi sur deux victoires agrémentées de clean-sheets sur la pelouse du Havre (0-2) et face à Grenoble (1-0). Et rêve forcément de la passe de trois pour voir à nouveau la vie en rose.
Comme le nombre de points pris par les Nordistes face au leader havrais. Valenciennes est la seule équipe à avoir réalisé un carton plein aux dépens du club doyen. Les hommes de Luka Elsner ont en effet essuyé deux de leurs trois seuls revers face aux coéquipiers de Mathieu Debuchy. Mieux, ces derniers ont signé deux clean-sheets face au potentiel futur pensionnaire de la Ligue 1 Uber Eats (1-0 au Hainault, 0-2 au stade Océane).
Puissant, présent à la récupération, capable non seulement de se projeter mais également de conclure à l'instar de ses cinq buts inscrits cette saison en championnat, Mohamed Kaba est l'homme fort de l'entre-jeu valenciennois. Il l'a encore démontré récemment sur la pelouse du leader havrais, en scellant le sort du match peu avant le retour aux vestiaires d'une frappe surpuissante (0-2) et samedi dernier aux dépens de Grenoblois avec ce supplément de réussite qui va bien (1-0).
Appliqué et solide dans les duels, Louis Mouton, doté d'un gros abattage et d'une belle frappe a su, en dépit d'une forte concurrence au cœur du jeu, intégrer la rotation, gagner des minutes, du galon et du crédit. Ayant, à l'instar de Dylan Chambost, Baptiste Gabard et d'Étienne Green, effectué ses premiers pas à Veauche, il compte parmi les plus sérieux espoirs de la formation à la stéphanoise.
À la question : "Quels souvenirs de Louis avez-vous gardés ?", la réponse fuse. Sans fard ni détours. Spontanée et diablement belle. "Le cœur. Gros comme ça !", confie Patrick Imbert, l'un de ses tout premiers éducateurs à l'ES Veauche, épatant terreau de jeunes pousses talentueuses. De la bonne graine assurément. Généreux sur le terrain, généreux dans la vie de tous les jours, le milieu de terrain des Verts n'est pas comptable de ses efforts et de ses sourires. "La banane. Louis a toujours eu la banane", ajoute Patrick Imbert qui, l'an dernier encore, quinqua sémillant, tâtait la gonfle en loisirs avec "Nico", le papa de Louis et Jules, dont on dit également le plus grand bien, et un certain Laurent Batlles. "Il aimait par dessus tout ses copains. Et s'attachait à jouer pour le collectif. Il ne tirait pas la couverture à lui. Bien sûr, il était en mesure de pouvoir faire seul la différence mais bien souvent, il privilégiait la passe. Sa qualité de passe et son altruisme constituaient d'ailleurs ses principales qualités. Et déjà, il détestait perdre. Il n'acceptait pas la défaite. C'était l'un de ses traits de caractère. Mes fils, Baptiste et Pierre, et moi-même, nous le voyons encore fréquemment. Il n'a pas changé. Il est le même : humble, avenant, poli. Il a des valeurs, celles d'un garçon qui a reçu une bonne éducation."
Et Patrick Imbert d'évoquer un souvenir qui l'a tout particulièrement marqué : "En U13, nous avions disputé un tournoi à La Fouillouse. Nous obtenons un coup-franc au milieu du terrain. Je vois Louis s'emparer du ballon. Je pense alors : "il ne va quand même pas frapper d'ici..." Avec mon homologue, nos regards se croisent. Il esquisse un petit sourire. Il imagine sans doute que tir, si tir il y a, atteindra péniblement la surface de réparation. Il se fichera sous la transversale, Louis m'a regardé avec un immense sourire aux lèvres et nous avons remporté ce tournoi ! Avant de conclure :"Au sein de notre club, nous sommes tous forcément très fiers de la réussite de tous ces jeunes qui ont débuté à Veauche. C'est un sentiment qui me paraît pour le moins légitime."
Une fierté bien évidemment également partagée par Stéphane Rioux. "Ces réussites, ces trajectoires, sont forcément toujours gratifiantes pour un club tel que le nôtre. Concernant Louis, je ne suis pas surpris. Bien entouré, il s'est donné les moyens de ses ambitions. À la demande de l'ASSE qu'il a rejointe l'année suivante, nous l'avions surclassé en U13 alors qu'il n'était encore que U11. Et il était déjà nettement au-dessus. Il était tout à la fois notre ratisseur et notre distributeur. Il grattait des ballons et les distillait. Il était présent à la récupération et dans l'orientation du jeu. Il voyait juste et vite, faisait preuve d'abattage et de lucidité, de puissance et de pertinence dans ses choix. Louis, c'était en quelque sorte le couteau suisse de notre milieu de terrain. En dépit de son jeune âge, il avait déjà une forme d'assurance dans son jeu et, par exemple, était appelé à tirer les coups de pied arrêtés."
Stéphane, tout comme Patrick, n'est pas surpris de la montée en puissance de Louis Mouton. "Il a beaucoup donné, consenti des efforts depuis des années pour toucher au but. Ses blessures auraient pu saper son moral. Il a su, au contraire, surmonter ces difficultés, ces aléas que connaissent tous les sportifs. Il en est aujourd'hui récompensé et c'est, à mes yeux, amplement mérité." À l'évidence, l'Étoile Sportive de Veauche, glorieux centenaire, est de tout cœur avec l'un de ses anciens poumons au sein des équipes de jeunes.
Dix-sept fois relégables tout au long d'une saison marquée cependant par une remarquable campagne européenne, deux succès aux dépens de l'Olympiakos et une élimination frustrante en huitièmes de finale de la Coupe UEFA face au Werder Brême, les Ligériens jouent gros, très gros en ce samedi 30 mai 2009.
Le Peuple Vert retient son souffle : le cœur dans le Chaudron, une oreille collée au transistor. En cette 38eme et ultime journée, Sainté doit non seulement s'imposer mais également pousser fort derrière les Girondins de Bordeaux, futurs champions de France, en déplacement à Caen, rival direct de l'ASSE dans la course au maintien en L1.
Si Valenciennes et l'ex-Stéphanois Siaka Tiéné ont d'ores et déjà composté leur ticket pour l'élite et demeurent sur des victoires probantes aux dépens du PSG (2-1) et Lyon (2-0), ils ne résisteront pas à "l'ouragan stéphanois emportant tout sur son passage et notamment un onze nordiste balayé tel un fétu de paille", dixit "La Voix du Nord". Araujo Ilan débloquera la situation en trompant la vigilance d'un Nicolas Penneteau inspiré, multipliant les parades. Bafé Gomis signera enfin le but du break puis, dans la foulée, celui de la délivrance pour un feu d'artifice gagnant ponctué par Kévin Mirallas.
Les Verts d'Alain Perrin, qui avait succédé à Laurent Roussey, décrochèrent donc leur maintien "au terme d'une saison épuisante", confiera Araujo Ilan dans les colonnes de "La Tribune". Les Foréziens avaient fait le job; Bordeaux, en s'imposant à Caen, également (0-1). Trois jours après s'être enflammé pour ses favoris, le Chaudron sonnera creux pour la venue des Bleus battus par le Nigéria (0-1).
Samedi 30 mai 2009
À Saint-Étienne (Stade Geoffroy-Guichard), AS Saint-Étienne - Valenciennes-FC : 4-0 (1-0).
Arbitre : Bertrand Layec; 33 633 spectateurs.
Buts pour Saint-Étienne : Ilan (14e), Gomis (53e, 56e), Mirallas (66e).
ASSE. Janot - Varrault (Sauget, 46e), Bayal Sall, Benalouane, Dabo - Landrin, Machado (Hautcoeur, 46e) - Mirallas (Gigliotti, 77e), Ilan (cap.), Payet - Gomis. Entraîneur : Alain Perrin.
Valenciennes. Penneteau - Ducourtioux, Bisevac (D. Traoré, 86e), Abardonado, Tiéné - Sanchez, Saez - Mater (Jeovanio, 73e), Pujol (cap.), Danic - Pieroni (M. Traoré, 73e). Entraîneur : Antoine Kombouaré.
En ce mardi 2 juin de l'an de grâce 1981, une étoile est née. Une étoile en bleu, blanc, rouge. De sueur et de talent mêlés. D'altruisme viscéral et de technique finement ciselée.
Quarante-deux années, jour pour jour, se sont écoulées. Pour autant, le souvenir de ces instants magiques de félicité et de fierté demeure. Et rythme et habite encore et encore le Peuple Vert, à jamais le premier à célébrer avec ferveur cet exploit XXL dont on ne se lasse pas de narrer les contours par le menu. Avec force détails et passion au cœur, images épiques et transmission en bandoulière. De génération en génération. D'émotions fortes en récits hauts en couleur.
Ce mardi 2 juin 1981 donc, qui, mieux que Michel Platini, pouvait écrire l'une des pages les plus glorieuses de cette ASSE à nulle autre pareille. Un joueur hors normes, ensorcelant ballons et adversaires bluffés par ses arabesques et ses géniales inspirations. Numéro 10 à l'ancienne, romantique absolu, maestro et premier violon d'une symphonie d'un bonheur inouï, "Platoche" à la baguette composa une sonate en la majeur. Celui qu'il donna tout au long de 90 minutes qu'il éclaboussera de sa classe. Face à Marius Trésor et des Bordelais grand cru, drivés par un certain Aimé Jacquet, il présenta la note puis remit une pièce. En l'espèce, deux buts du futur triple Ballon d'or, inscrits avant la pause, savant mélange de flair et de justesse technique, de vista et de précision chirurgicale, eurent tôt fait de mettre à la raison des Girondins rendus à baisser pavillon.
Ce 2 juin 1981, l'AS Saint-Étienne, façonnée par Roger Rocher et Robert Herbin et cette exceptionnelle phalange, victorieuse de tant de combats, toucha au sublime. Le Graal. L'étoile. Celle qui brille aujourd'hui encore dans les palpitants et les yeux. Cette star bien née valut au club forézien d'étoffer son riche palmarès d'une pièce, unique alors : le super trophée des dix titres de champion de France que vous pourrez admirer lors de votre visite au Musée des Verts.
Mardi 2 juin 1981
À Saint-Étienne (Stade Geoffroy-Guichard), AS Saint-Étienne bat Girondins de Bordeaux : 2-1 (2-0).
Arbitre : Ottorino Di Bernardo; 22 775 spectateurs.
Buts pour Saint-Étienne : Platini (25e, 41e).
But pour Bordeaux : Lacombe (80e).
ASSE. Castaneda - Battiston, Gardon, Lopez, Janvion - Santini, Platini, Zanon - Rep, L. Roussey, Bellus. Entraîneur : Robert Herbin.
Bordeaux. Delachet - Rohr, Eyquem, Trésor, Bracci - Thouvenel, Fernandez, Girard, Van Straelen - Lacombe, Soler (Sanz, 71e). Entraîneur : Aimé Jacquet.
À l'instar de cet objet présenté dans cette rubrique consacrée aux 90 ans du club, le Musée des Verts a pour objectif de diffuser la grande histoire de l'AS Saint-Étienne. Depuis le 20 décembre 2013 et à travers 1 000 autres objets, le Musée incarne la fierté des supporters et les valeurs d'un territoire. À l'intérieur même du Stade Geoffroy-Guichard, venez découvrir cette riche et passionnante saga. Plus d'informations sur museedesverts.fr ou par téléphone au 04 77 92 31 80.
Comment a débuté ton histoire avec le ballon rond ?
J'ai commencé le football à l'âge de 7 ans. J'ai joué pour les universités de Columbia et du Texas-Austin ce qui m'a permis de mener un double projet et d'obtenir mon baccalauréat et ma maîtrise en génie civil. Puis je suis partie en Islande où j'ai signé un contrat professionnel en 2017 avec l'UMF Sindri. Après cette première expérience en Europe, j'ai joué dans plusieurs pays : la Roumanie où j'ai pu découvrir la Ligue des Championnes, la Finlande et l'Allemagne. Avant d'arriver à Saint-Étienne, j'avais déjà découvert le championnat français lors de la saison 2017-2018 avec Ambilly.
Quel est ton plus beau souvenir sur les terrains de football ?
Ça remonte à un match sous les couleurs de mon pays : Saint-Christophe-et-Niévès. Nous avions battu Trinité-et-Tobago ce qui nous avait permis de nous qualifier pour les phases de qualification de la CONCACAF. Lors de ce match, j'étais capitaine, et c'est vraiment un bon souvenir.
En as-tu un plus mauvais ?
J'ai été victime d'une déchirure du ligament croisé lorsque je suis entrée en première année universitaire. Et d'une deuxième lors de la dernière année. Globalement, toutes les blessures restent des mauvais souvenirs.
Cette année, tu as vécu une belle saison, symbolisée par ce titre de Championne de France, qu'est-ce que tu retiens de cet exercice ?
Mon objectif était de donner le meilleur de moi-même à chaque match, de jouer pour mon équipe et de prendre du plaisir. C'est exactement ce que j'ai fait donc je suis très contente de cette saison. Nous avons atteint notre objectif en permettant au club de revenir en D1 Arkema et en bonus nous avons gagné ce titre de Championnes de France de D2. Merci à l'ASSE, au staff, à mes coéquipières et à nos supporters, merci pour tout le travail fourni cette saison, que ce soit sur le terrain, en-dehors ou en tribunes.
Selon toi, qu'est ce qui a fait la force du groupe ?
Nous avons beaucoup de joueuses talentueuses et surtout nous avions toutes la même volonté : obtenir cette montée en D1 Arkema. Pour atteindre notre objectif, nous avons appris à travailler et à jouer ensemble toute l'année. Et le staff est important aussi, ils ont veillé à ce que nous restions motivées tout au long de la saison.
Peu importe le résultat, que ce soit une victoire, un match nul ou une défaite, ils n'ont jamais cessé de nous soutenir alors merci, car sans vous, nous n'aurions pas pu y arriver.
Comment se sont passés tes premiers mois à Sainté ?
J'ai déjà joué en France au CSFA Ambilly (devenu Thonon Évian) donc c’était un peu plus facile cette fois-ci. J'ai aussi apprécié pouvoir suivre des cours de français pour pouvoir mieux communiquer avec mes coéquipières. Nous avions un groupe équilibré avec autant de joueuses françaises que de joueuses étrangères. C'était intéressant de découvrir la différence de culture et d'apprendre les unes des autres. Ce n'est pas toujours facile de gérer cela dans une équipe, mais ça s'est bien passé cette année.
Pourquoi avoir choisi de rejoindre l'ASSE l'été dernier ?
L'opportunité s'est présentée l'été dernier après ma saison en Allemagne. Je connaissais le club et sa riche histoire du côté masculin, grâce à FIFA et aux parties avec mon frère (rires). L'objectif de monter en D1 Arkema me plaisait forcément et je savais que le club était en mesure de l'atteindre. En tout cas, j'étais prête à relever ce défi d'écrire l'histoire du côté féminin dans ce club qui a connu tant de succès du côté masculin. Mon espoir est qu'avec cette montée, l'ASSE puisse devenir une force motrice du football féminin en France et ainsi réduire l'écart entre le football masculin et féminin.
Justement, où en est le football féminin selon toi ?
La différence entre le football masculin et féminin est encore très importante. Le football féminin commence à se développer dans le monde, avec d'autres joueuses de football, j'ai envie de faire en sorte que notre football continue de grandir pour combler les écarts.
As-tu une joueuse qui t'inspire tout particulièrement ?
Kristine Lilly, une joueuse de l'équipe nationale américaine. Lorsqu'elle jouait, elle se battait toujours et donnait le meilleur d'elle-même sur le terrain pour s'assurer que ses coéquipières réussissent. Je suis également inspirée par sa vie après le football, s-la famille qu'elle a construite tout en continuant à partager son amour du football avec les jeunes générations. Il y a aussi Wendie Renard. Je l'ai toujours regardé jouer et j'admire sa façon d'évoluer sur un terrain, sa constance et son leadership. Rien qu'en la regardant, on sait que c'est une leader qui n'a pas peur de défendre ce en quoi elle croit.
En cette fin de saison, as-tu un mot à dire aux supporters qui vous ont soutenu cette saison ?
Je voudrais les remercier pour le soutien inconditionnel tout au long de cette saison, non seulement à domicile, mais aussi lors de nos matchs à l'extérieur, parfois après plusieurs heures de route. Peu importe le résultat, que ce soit une victoire, un match nul ou une défaite, ils n'ont jamais cessé de nous soutenir alors merci, car sans vous, nous n'aurions pas pu y arriver.
Véritable extension du Chaudron, ce bar iconique du quartier Montmartre de Paris refait la joie des Stéphanois de la capitale depuis ce jeudi 1er juin et est prêt à bouillir à nouveau pour les matchs de l’ASSE. Fermée en octobre dernier, la Divette de Montmartre a rouvert ses portes et redevient cette cinquième tribune du Stade Geoffroy-Guichard lors des matchs de l’AS Saint-Étienne grâce à la passion de Serge Vial, son gérant. Outre un changement de décoration, la Divette de Montmartre sera dorénavant le siège de la Section N°7 des Associés Supporters, celle des supporters stéphanois de… Paris !
Du haut de ses 20 ans, Saïdou Sow compte déjà 12 sélections en Équipe nationale de Guinée. C'est donc tout naturellement que son sélectionneur, Kaba Diawara, compte sur lui pour le prochain rassemblement du Syli national. À cette occasion, les Guinéens affronteront l'Égypte (le 14 juin à Marrakech) puis le Brésil (le 17 juin à Barcelone). Deux rendez-vous prestigieux !