"Ce match peut nous permettre de basculer dans les cinq premiers mais dans un premier temps, je suis plutôt focalisé sur l’équipe que sur les résultats. Avant de parler d'enchaîner les victoires, je veux d'abord enchaîner des performances. On a encore des marges à aller chercher, notamment sur le plan offensif."
Olivier Dall'Oglio.
La programmation complète
Samedi 27 janvier
15h : AS Saint-Étienne – Amiens SC
19h : AC Ajaccio – US Concarneau
AJ Auxerre – EA Guingamp
SM Caen – ESTAC Troyes
Paris FC – USL Dunkerque
QRM – Grenoble Foot 38
Rodez Aveyron Football – Stade Lavallois MFC
FC Annecy – Pau FC
Valenciennes FC – SC Bastia
Lundi 29 janvier
20h45 : FC Girondins de Bordeaux – Angers SCO
Si en haut du classement, notamment dans la quête des places qualificatives pour les play-offs, les écarts sont réduits, voire minimes... Derrière, il se creuse. Cette 22e journée de Ligue 2 BKT pourrait marquer un tournant dans la course au maintien. Quatre points séparent déjà le premier relégable du premier soulagé. Annecy, Quevilly, Dunkerque et bien sûr Valenciennes, distancé de douze points par le premier non relégable, le savent. Si le compteur augmente encore un peu plus, les chances de se maintenir commenceront à se réduire considérablement. Autant dire que ces quatre clubs n'ont pas le droit à l'erreur ce week-end.
Le match d'ouverture de la 22e journée de Ligue 2 BKT, qui mettra aux prises les Verts à Amiens dans le Chaudron, samedi 27 janvier (15h), sera dirigé par Thierry Bouillé. Ce dernier sera assisté de Mohamed Benkemouche et de Florent Marmion. En outre, les instances fédérales ont désigné Gabriel Henry en qualité d'arbitre remplaçant.
Cette saison, Thierry Bouillé, qui n'a jamais croisé la route des Verts, a officié lors de neuf matches de Ligue 2 BKT, ayant donné lieu à 36 avertissements. En revanche, le référé lorrain n'a procédé à aucune expulsion.
Une entame XXL sanctionnée d'un 13 sur 15 du meilleur effet puis un coup de moins bien. Amiens, lors de la phase aller, aura ainsi cruellement manqué de constance, alternant le bon et le passable, oscillant entre promesses et déceptions. À l'instar de ce succès face aux Verts au terme d'une prestation aboutie (1-0) ou de cette gifle à la Licorne face à Angers (1-4). La CAN est en outre une donnée à ne pas négliger. Se révélera-t-elle fatale pour des Picards privés de cinq éléments ? Mamadou Fofana (Mali), Nicholas Opoku (Ghana), Abdoul Tapsoba (Burkina Faso) ou des coéquipiers de Dylan Batubinsika et de Karim Cissé, en l'occurrence Gaël Kakuta et Abdourahmane Barry avec la RDC et la Guinée, ont en effet été retenus pour la compétition actuellement organisée en Côte d'Ivoire. En revanche, le club picard a notamment enregistré l'arrivée de Mohamed Jaouab, défenseur axial en provenance du Stade Rennais.
Comme le nombre de points engrangés par les hommes d'Omar Daf à l'extérieur. Un brin insuffisant pour des Picards entendant légitimement se mêler à la lutte pour les barrages mais témoignant cependant d'un potentiel et intéressant axe de progression en termes comptables à l'aube de cette phase retour. Jusqu'alors, les coéquipiers de Régis Gurtner, l'inoxydable et fidèle portier, l'ont emporté à Dunkerque (0-1), Auxerre (0-1) et Valenciennes (0-1), partageant les points à Annecy (1-1) et Rodez (2-2), s'inclinant par ailleurs à cinq reprises loin de leurs bases.
Onze réalisations et quatres passes décisives, la saison dernière avec QRM, avaient marqué les esprits. Et incliné les dirigeants picards à s'intéresser au profil de Louis Mafouta alors qu'entre autres, le prometteur George Ilenikhena avait mis le cap sur Antwerp. Un choix pertinent tant le Centrafricain, puissant et véloce, pèse sur les défenses et prend les espaces avec un bel appétit. Il a déjà trouvé le chemin des filets à sept reprises, toutes compétitions confondues. Un bilan supérieur par exemple à un certain Andy Carroll, himself.
Pour la quatrième année, la Génération Verte s'investit pour le Concours d'éloquence des Centres de formation des clubs professionnels français. Aux côtés de Mohamed Slim, Président de Prométhée Éducation, les jeunes Stéphanois issus du Groupe Avenir ont lancé ce mercredi la préparation de ce rendez-vous annuel, qui visera dans un premier temps à désigner l'orateur qui représentera l'ASSE lors de la finale nationale.
Qui succèdera à Maxime Gaudry (2021), Ewan Hornech (2022) et Valentin Depalle (2023) ? Réponse dans quelques semaines, et après quelques exercices !
Chez les Cardona, on est buteur de père en fils. Comme une marque de fabrique dûment estampillée, revendiquée, objet d'une légitime fierté. Une AOC ou plus précisément un ADN. Un de ces gènes qui leur colle aux crampons. Le but est leur ambition ultime; la zone de vérité, leur surface d'expression, de prédilection. Irvin, le néo-Stéphanois a marché dans les pas de Pascal, son goleador de papa et entend faire montre de cette efficacité viscérale sous le maillot vert.
Tout minot déjà, Irvin Cardona s'était fait un prénom. Et suscité en benjamins l'intérêt de clubs du standing des Girondins de Bordeaux, de l'OM, de Sochaux... et des Verts chez lesquels il effectuera une détection sous le regard expert du regretté Georges Bereta, bluffé d'ailleurs par ce talent précoce. Trop tard. L'AS Monaco avait déjà jeté son dévolu sur ce talentueux enfant de la balle pétri de qualités. Sens du but aiguisé, appels à l'envi, courses tranchantes, déplacements intéressants : la palette était de fait étoffée et porteuse de promesses.
En charge alors des U14 et des U15 de l'US Le Pontet, Fabrice Di Natale, aujourd'hui intendant à l'ASSE, se souvient de "ce garçon appliqué, à l'écoute, passionné, bosseur, ne ratant jamais une séance, toujours à l'affût de la moindre info, du moindre détail. Tout simplement adorable à coacher qu'était Irvin. Je le connaissais depuis déjà pas mal d'années. Alors que j'étais responsable de la formation à Avignon, je l'avais déjà repéré en poussins ainsi que chez les benjamins. Il évoluait dans l'axe et était déjà puissant, véloce, très adroit. Il faisait de grosses différences, pouvait créer des brèches pour ses partenaires mais également conclure. Il marquait beaucoup de buts et, au sein d'une belle génération, s'était imposé comme un leader naturel. Ses performances n'ont d'ailleurs pas été étrangères au titre de Champion de Ligue Méditerranée que nous avions remporté en U15." Avant de conclure: "Je ne suis donc pas surpris de la trajectoire qu'Irvin a empruntée. Il avait tout pour réussir."
Des propos élogieux auxquels souscrit Frédéric Barilaro, l'une des personnalités marquantes du prestigieux centre de formation princier quand bien même n'aurait-il eu guère d'occasions de s'exprimer en équipe première, après avoir paraphé un contrat le liant pour quatre saisons à l'ASM, à l'âge de 18 ans (il avait toutefois fait partie du groupe monégasque face au Borussia Dortmund en Ligue des Champions 2017, ndlr). "Irvin est un garçon attachant, ayant reçu une excellente éducation, partageant la passion du foot avec son papa avec lequel je suis toujours en contact. En 2016, lorsque nous avons remporté la Coupe Gambardella (aux dépens du RC Lens de Jeanricner Bellegarde, 3-0 et avec Guévin Tormin, le frère de Tyrone qui évolua à l'ASSE), il formait un sacré duo d'attaquants avec Kylian (Mbappé). Irvin, qui avait déjà marqué en demi-finales face à Brest, avait ouvert le score en finale d'un joli ballon piqué au-dessus du gardien sorti à ses devants avant que Kylian ne signe un doublé. S'il n'a pas évolué en pros chez nous, je sais qu'en revanche son prêt au Cercle Bruges avait été très intéressant. Il avait d'ailleurs contribué à l'accession en Jupiler League en inscrivant le penalty de la montée."
Et Frédéric Barilaro de poursuivre: "Irvin est puissant, doté d'un bon jeu de tête et peut évoluer sur tout le front de l'attaque, en pointe comme sur un côté. Il est généreux dans l'effort, ne triche pas en termes d'investissement. Il va se donner à 150%. Lorsqu'il aura retrouvé le rythme, il représentera sans aucun doute un atout supplémentaire pour Olivier Dall'Oglio qui le connaît bien. C'est un bon choix pour l'ASSE."
À Irvin désormais de donner corps à ces propos flatteurs, à se montrer décisif sous sa nouvelle tunique verte et à "planter" de nombreux buts à l'instar de ceux inscrits par son père (26 buts en 26 matches de CFA lors d'une saison prolifique avec Le Pontet) ou de son frère cadet, Timothy, serial buteur du côté de Lunel. Bon sang ne saurait mentir !
Après être longtemps restés à quai, les Verts, qui mènent grand train et ont enfin accroché le bon wagon, aspirent à conforter ce regain salvateur. Sur la voie du renouveau se dresse Amiens, sur le terrain duquel ils avaient remporté l'un des rares succès d'une phase aller en pente douce (0-1). Les Picards, bien que privés de leur locomotive, Gaël Kakuta, mais également de l'ex-Rennais Jérémy Gélin, n'ont, pour leur part, pas abandonné toute ambition de prendre place en Première Classe.
De fait, cette rencontre sera rythmée, enlevée, spectaculaire, féconde en occasions. Régis Gurtner, le grand pote de Thomas Monconduit, et Gautier Larsonneur, particulièrement inspirés et auteurs de parades décisives, il faudra cependant attendre l'heure de jeu pour assister à l'ouverture du score. Signée Iron Gomis reprenant imparablement de volée un centre parfait du Suédois Ring.
Face à l'une des défenses les plus hermétiques de la Ligue 2 BKT avec seulement douze buts encaissés, Anthony Briançon, "soucieux de montrer l'exemple, de tout arracher", et ses coéquipiers s'en remettront à Niels Nkounkou,leur facteur X, débarqué dans le Forez lors d'un mercato hivernal pleinement réussi, pour prolonger leur série de six matches sans revers. Grattant un ballon à hauteur de la ligne médiane, le joueur, prêté par Everton, au terme d'une course de cinquante mètres, en version TGV, trompera le portier amiénois d'une frappe déviée par Formose Mendy. Le 39e but, déjà, d'un groupe forézien pouvant s'appuyer sur une attaque turbinant à plein régime.
La frustration évacuée, Gautier Larsonneur soulignera "l'importance de faire tourner le compteur. Ce fut un match ouvert, box to box, avec beaucoup de verticalité. Cela aurait pu sourire à l'une ou l'autre des équipes. Le nul me semble donc logique." Un sentiment partagé par Laurent Batlles, satisfait "d'avoir prolongé une série positive et poursuivi ainsi notre remontée au classement." Elle vaudra aux Verts de finir quatrièmes sur la phase retour et de se sauver des affres de la relégation en National.
Samedi 11 mars 2023
À Saint-Étienne (Stade Geoffroy-Guichard), AS Saint-Étienne et Amiens SC: 1-1 (0-0).
Arbitre: Stéphanie Frappart; 23 072 spectateurs.
But pour Saint-Étienne: Nkounkou (77e).
But pour Amiens: Gomis (57e).
Avertissements à Saint-Étienne: Krasso (68e), Cafaro (84e), Monconduit (89e).
Avertissement à Amiens: M. Fofana (29e).
ASSE. Larsonneur - Briançon (cap.), Sow, Pétrot - Appiah (Cafaro, 67e), K. Bamba (Bouchouari, 61e), Monconduit, Fomba (Lobry, 61e), Nkounkou - Krasso, Wadji (Chambost, 88e). Entraîneur: Laurent Batlles.
AMIENS. Gurtner (cap.) - Mendy, Opoku, D. Fofana, Ring - Gomis (Bandé, 82e), Gene, M. Fofana (Lachuer, 73e), Leautey - Chibozo (Ilenikhena, 82e), Cissé (Barry, 89e). Entraîneur: Philippe Hinschberger.
Exigeant, intransigeant, novateur, énigmatique, économe de ses mots. Les qualificatifs se bousculent à l'heure d'évoquer Robert Herbin, un homme et un éducateur aux mille facettes. Complexe et fascinant. Soliste et chef d'orchestre. Tout a été dit sur "Le Sphinx", entraîneur hors norme, joueur de tête dans toute l'acception du terme, capable d'évoluer avec un égal bonheur dans l'entre-jeu ou en charnière centrale. Robert Herbin était de la race des grands, des très grands, de ceux qui vous inspirent et devant lesquels vous vous inclinez respectueusement. Légitimement. Naturellement.
Sur le rectangle vert, l'unique juge de paix, Roby a su imposer sa présence athlétique, sa faculté à gagner des duels aériens, à évoluer avec efficacité et simplicité, au service du collectif. Il a ainsi, avec ses coéquipiers Claude Abbes, Richard Tylinski ou René Ferrier, écrit l'une des premières pages du palmarès de l'ASSE, s'adjugeant la Coupe de France, le 13 mai 1962 à Colombes aux dépens de Nancy grâce à un but inscrit par Jean-Claude Baulu (1-0). René Domingo et ses coéquipiers, bien que relégués, venaient de remporter l'épreuve-reine, Robert Herbin de s'affirmer comme l'une des pièces maîtresses de cette équipe drivée par le Forézien François Wicart. Herbin et ses coéquipiers réalisèrent, six ans plus tard, le premier doublé de l'histoire du club. Face à Bordeaux, avec à la baguette, Rachid Mekhloufi, le magicien de Sétif, auteur d'un doublé et un Georges Bereta délivrant une "passe décisive" au Général De Gaulle pour un instant à jamais gravé dans l'imaginaire collectif (2-1).
Robert Herbin, ses 492 matches, tous sans exception dès le coup d'envoi, ses 99 buts, ses six titres de champion et ses trois Coupes de France, aura marqué l'ASSE en sa qualité de joueur d'exception, de ceux qui, un soir d'octobre 1969, éliminèrent le Bayern de Sepp Maier, Franz Beckenbauer et Gerd Muller.
Robert Herbin, ses 637 matches sur le banc, ses quatre titres de champion, ses trois Coupes de France, cette mémorable finale européenne à Glasgow, ses maudits poteaux carrés, ce peuple vert déferlant sur la capitale écossaise et cette France s'entichant de Saint-Étienne, aura également laissé une trace indélébile en sa qualité d'entraîneur d'exception, digne successeur de Jean Snella et d'Albert Batteux. La rédaction de France Football le désignera entraîneur de l'année à deux reprises, en 1973 et en 1976.
23 fois international, Robert Herbin, l'homme d'un seul club, mélomane averti, grand amateur d'opéra et de musique classique, s'est éteint le 27 avril 2020 à l'âge de 81 ans. Le centre de formation de l'AS Saint-Étienne, situé à L'Étrat, porte désormais son nom.
Si vous avez la riche idée de franchir le seuil du musée des Verts, vous découvrirez la coupe remise par "FF", l'hebdomadaire incontournable du ballon rond dans l'Hexagone à Roby, élu meilleur coach 1976.
À l'instar de cet objet présenté dans cette rubrique consacrée aux 90 ans du club, le Musée des Verts a pour objectif de diffuser la grande histoire de l'AS Saint-Étienne. Depuis le 20 décembre 2013 et à travers 1 000 autres objets, le Musée incarne la fierté des supporters et les valeurs d'un territoire. À l'intérieur même du Stade Geoffroy-Guichard, venez découvrir cette riche et passionnante saga. Plus d'informations sur museedesverts.fr ou par téléphone au 04 77 92 31 80.
Alors Amandine, on imagine que pour toi, tout va bien ?
Super bien ! Je me sens bien dans ce groupe. Les filles m’ont très bien accueilli et le club aussi. Je connaissais déjà quelques joueuses avec qui j'ai pu jouer auparavant, à Rodez ou avec la sélection canadienne... Ça aide pour s'intégrer dans un effectif !
Vous restez sur quatre victoires consécutives, dans quel état d’esprit est le groupe ?
Le groupe va très bien ! Ça fait forcément du bien de vivre des victoires surtout quand on met les ingrédients qu’il faut. On travaille au quotidien donc ces succès viennent récompenser nos efforts.
J’espère pouvoir continuer à aider l’équipe en marquant et en faisant marquer.
Le coach dit souvent qu'il voulait travailler avec toi depuis un moment, quelle est ta relation avec lui ?
On avait déjà échangé lors de son passage à Soyaux et en Haïti. Pour diverses raisons, ça n’avait pas abouti à ce moment-là, mais c’est un coach passionné et qui en veut autant que les joueuses. Il prend le temps de nous apprendre les choses et de nous corriger lorsque l’on commet des erreurs... C'est un soutien pour progresser au quotidien.
Il a d'ailleurs décidé de te repositionner à ton arrivée à l'ASSE, dans un rôle plus offensif !
Je suis une attaquante de formation malgré mon statut de latérale ces dernières années. Je suis une joueuse polyvalente donc je le vis bien et le staff m’accompagne pour retrouver mes repères à ce poste.
Ça fonctionne plutôt bien, puisque tu as été décisive à Toulouse en Coupe de France ou plus récemment ce week-end face à Fleury !
Ça fait plaisir ! J’espère pouvoir continuer à aider l’équipe en marquant et en faisant marquer. J’ai d'excellentes joueuses autour de moi donc ça rend la tâche plus facile.
Le jeu en Europe est beaucoup plus technique et rapide dans les petits espaces que le football nord-américain.
Quelles sont les différences entre le football nord-américain et le football européen ?
Le jeu en Europe est beaucoup plus technique et rapide dans les petits espaces. Le football nord-américain lui est beaucoup plus athlétique et physique. C’est un peu comme un échange, en venant en Europe les Nord-Américaines apportent cet atout physique et apprennent beaucoup techniquement et tactiquement.
Tu as d'abord porté le maillot de la sélection du Canada, avant d'opter pour Haïti... Qu'est-ce qu'il représente pour toi ce maillot ?
La première fois que j’ai porté le maillot d’Haïti, c’était beaucoup d’émotion. Entendre l’hymne national de mon père m’a rendu très fière. J’ai eu une pensée pour mes grands-parents qui ne sont plus avec nous maintenant et ça m’a donné beaucoup de courage et de motivation. Haïti c’est un peuple qui se bat et qui ne lâche jamais rien. Je suis très fière d'en porter les couleurs !
Pour finir, un mot sur l’adversaire du week-end, le Paris Saint-Germain ?
C’est une très bonne équipe avec beaucoup de talent et d’expérience. C’est sûr que ça va être difficile comme 8e de finale. On va devoir être disciplinées et organisées. On ne doit pas avoir peur et jouer notre jeu, finalement ce sont des joueuses comme nous...
Dylan Batubinsika, Karim Cissé et Ibrahim Sissoko sont des internationaux heureux. Les trois Verts, présents à la CAN 2023 cet hiver, verront les huitièmes de la compétition. Batu, d'abord, n'a peut-être pas trouvé le succès en trois matchs de poule avec sa République démocratique du Congo. Mais les Léopards, qui ont notamment accroché le Maroc (1-1), ont terminé deuxième de leur poule. Ils affronteront l'Égypte, privée de Mohamed Salah, ce dimanche (21h). Du côté de Karim, le bilan a été équilibré. Une défaite, un nul et un succès face à la Gambie ont permis à la Guinée de filer en 8es en tant que meilleur troisième. Le Syli défiera la Guinée Équatoriale, dimanche (18h). Enfin, le Mali, invaincu lors de cette première phase, tentera d'éliminer le Burkina Faso ce mardi (18h). Les Aigles, qui ont su battre l'Afrique du Sud, devront faire de même face à des Burkinabés sortis deuxièmes d'une poule ayant vu l'Algérie échouer. Bonne chance à nos trois Stéphanois !
Victime d’une rupture du ligament croisé antérieur du genou gauche, Stéphane Diarra a été opéré le mardi 23 janvier par le Docteur Bertrand Sonnery Cottet. L’intervention chirurgicale s’étant déroulée avec succès, l'attaquant a entamé sa convalescence par une phase de repos assortie d’une prise en charge en kinésithérapie.
L’AS Saint-Étienne apporte tout son soutien à Stéphane Diarra et lui souhaite un prompt rétablissement.