"Les quatre matchs qui arrivent sont très importants pour nous, pour le club. On se souvient de l’aller, on sait à quoi s’attendre. Annecy est une équipe qui met beaucoup d’intensité. À Bastia, on en a manqué. Chez nous, on doit être capables de faire ce que les Bastiais ont su faire chez eux."
Laurent Batlles.
Vendredi 3 février
20h45 : Pau FC – FC Girondins de Bordeaux
SM Caen – SC Bastia
Nîmes Olympique – Grenoble Foot 38
Quevilly Rouen – EA Guingamp
Rodez AF – FC Sochaux-Montbéliard
Dijon FCO – Chamois Niortais FC
Valenciennes FC – Stade Lavallois MFC
Havre AC – Paris FC
Samedi 4 février
15h : AS Saint-Étienne – FC Annecy
Lundi 6 février
20h45 : Amiens SC – FC Metz
En jouant ce samedi à 15h, les Verts ne seront de manière inhabituelle pas les premiers à fouler les pelouses de Ligue 2 BKT. Au programme de cette 22ème journée de championnat, un multi avancé et disputé ce vendredi soir. Au programme de celui-ci, plusieurs rencontres importantes pour l'ASSE. Dijon, autre équipe en difficulté, accueillera notamment Niort, qui reste sur trois défaites de rang. Valenciennes qui n'a plus gagné depuis dix rencontres affrontera de son côté Laval qui va mieux après une période compliquée. Enfin, Rodez, qui reste à portée de l'ASSE au classement, recevra Sochaux.
Cette 22ème journée de Ligue 2 BKT s'achèvera ce lundi, avec un choc de haut de tableau ! Metz, qui n'a plus perdu depuis neuf journées, se déplacera à Amiens, invaincu de son côté depuis six matchs. Respectivement cinquième et sixième avec le même nombre de points, 33, les deux clubs pourraient profiter de l'occasion pour se faire une place sur le podium. Pour cela, il faudra être attentif aux résultats de Bordeaux à Pau et Bastia à Caen.
Au pied des Alpes, le FC Annecy, dans la peau d'un promu cultivant tout à la fois humilité et ambition, n'entendait pas se faire une montagne de cette accession en L2 BKT. Mais plutôt d'un tremplin vers les sommets à terme. En dépit d'une entame ratée, les Haut-Savoyards, rigoureux, pragmatiques et solides défensivement, n'ont pas tardé à rapidement remonter la pente. Les voici désormais, forts de 28 unités et d'un bilan parfaitement équilibré (sept succès, sept nuls et sept revers), parfaitement calés dans la première moitié du classement, portés par une dynamique positive et escortés d'une confiance qui peut vous faire renverser les montagnes !
Comme le rang flatteur occupé par Annecy au classement des défenses, une position enviable et d'autant plus flatteuse lorsqu'elle est occupée par un promu. Les hommes de Laurent Guyot, un expert en la matière, n'ont cédé qu'à dix-neuf reprises en championnat. Seuls les Havrais (9), les Girondins de Bordeaux (16) et les Grenoblois (18) ont fait mieux. Les Haut-Savoyards ont signé pas moins de neuf clean-sheets face à Grenoble (0-0), Dijon (0-2), Metz (0-0), Quevilly-Rouen (1-0), Guingamp (0-4), Caen (0-0), Nîmes (0-0), Paris FC (2-0) et Caen (2-0). Une "stat" éloquente.
Il est la révélation annécienne de la saison. Non content d'être le bourreau des Verts - le 26 décembre dernier, il avait claqué un doublé causant la perte de Stéphanois défaits (2-1) -, il a repassé les plats et remis le couvert à Valenciennes (2-2) et inscrit le deuxième but haut-savoyard face au Paris FC (2-0). Depuis l'entame du présent exercice, le jeune attaquant sénégalais (21 ans), prêté par le RC Strasbourg, a trouvé le chemin des filets à douze reprises, toutes compétitions confondues, inscrivant neuf buts en championnat, tout comme Jean-Philippe Krasso et quatre en Coupe de France, une épreuve qui a vu le FCA décrocher son ticket pour les huitièmes de finale.
Vert depuis quelques jours, Mateo Pavlovic a foulé pour la première fois les pelouses stéphanoises cette semaine ! Bienvenue !
Sim Kavungu a un timbre de voix chaleureux et une énergie communicative. Une bienveillance naturelle, tout particulièrement à l'égard des "petits du quartier. Des bons gamins, bien élevés, polis à l'image de Lamine." C'est précisément à Bel Air, sous le maillot d'un club associatif, l'ASMB Montreuil, que Lamine, du haut de ses six ans, a commencé à "taquiner la gonfle", affichant "des dispositions déjà prometteuses". Et notamment son intelligence sur le terrain. "Je m'en suis ouvert avec son papa et lui ai demandé : "marche-t-il bien à l'école ? Il m'a répondu: "Il travaille très bien." Cela a fini par me convaincre. C'était très important, voire déterminant à mes yeux. Il était doué, souhaitait aller loin et se donnerait, tout comme en classe, les moyens d'atteindre ses objectifs."
Il les aura atteints après avoir marqué beaucoup, beaucoup de buts. "Lamine a débuté au milieu de terrain où sa qualité de passes et sa justesse dans l'orientation du jeu étaient précieuses. Ceci étant, rapidement je l'ai fait évoluer plus haut, au poste d'attaquant. Il était longiligne, assez frêle mais sentait les coups, avait le sens du placement et cette adresse dans la zone de vérité", précise son premier éducateur d'origine angolaise. "Pour ma part, j'étais gardien de but. Vous avez le jeu devant vous et vous l'analysez. Lorsque plus tard, vous vous retrouvez sur le bord du terrain, ça peut être un plus. Je pense que cela m'a sans doute servi dans ma gestion et mon ressenti", précise Sim Kavungu dont deux de ses fils ont connu le monde pro : Olivier au Havre aux côtés, entre autres, de Ryad Mahrez et de Gueïda Fofana. Ainsi qu'Anthony, passé par Nancy. "Il comptait parmi les coéquipiers de Lamine à Montreuil, tout comme Oumar Sissoko, qui a défendu les couleurs de Metz, Ajaccio et du HAC, c'était une belle génération. Je me souviens d'une finale nationale FSCF disputée à Limoges face aux Coqs Rouges de Bordeaux. Lamine était déjà au-dessus du lot", se remémore Sim Kavungo, insistant, en outre sur les qualités humaines du néo-Stéphanois. "Un garçon formidable qui n'oublie pas d'où il vient. Il lui arrive de me rendre visite. Nous sommes restés en contact et j'avoue que c'est un grand plaisir que de le voir évoluer au haut niveau."
De l'ASMB Montreuil au Red Star Club de Montreuil, il n'y avait qu'un pas que Lamine n'a pas tardé à franchir. "Je connaissais déjà son papa ainsi que Saïdou, son frère aîné qui jouait attaquant. Un jour, à l'entraînement, il est venu avec Lamine. Et c'est ainsi, tout naturellement, qu'il a signé chez nous. Il n'était pas épais mais, en revanche, il était à l'aise techniquement, faisait de grosses différences et claquait plein, plein de buts. Face à la cage adverse, il était propre, toujours bien placé. Je le faisais jouer en 10, en-dessous de la pointe. Avec pas mal de réussite. Une année, nous avions remporté deux tournois à Vincennes et en Guadeloupe, deux tournois qu'il avait marqués de son empreinte, terminant meilleur buteur", se remémore Bruno Fondini. Et de poursuivre : "Mentalement, il était costaud, avait la tête sur les épaules, était déjà mature en dépit de son jeune âge. Lorsqu'il a rejoint le centre de préformation de l'AJ Auxerre, il a été placé en famille d'accueil. Quand tu quittes les tiens, et bien que recevant régulièrement la visite de ton père, c'est forcément difficile mais cela l'a sans doute endurci, lui a forgé un gros caractère." Dans ce vivier exceptionnel et semblant quasi inépuisable qu'est l'Ile-de-France, Lamine a grandi au sein d'un groupe "compétitif. La génération 98 était un grand cru. Et précoce : les trois plus jeunes étant surclassés. Il y avait Lamine donc mais également Anthony Adel, remarqué par l'OL où il n'a pas percé et Arnaud Luzayadio, passé par le PSG et aujourd'hui en Eredevisie au FC Emmen."
Une fierté légitime pour cet éducateur œuvrant à Montreuil depuis 25 ans. Avec une implication de tous les instants et une fidélité sans faille. À l'instar du néo-Ligérien, "gentil, respectueux et reconnaissant. On n'a jamais rompu le lien. On l'a suivi à Auxerre et à Nîmes. Mon frère et moi-même, nous viendrons prochainement à Geoffroy-Guichard afin de l'encourager. Nous serons accompagnés de notre père, un supporter de toujours des Verts, un grand club qui doit se sauver." Une mission à laquelle Lamine Fomba s'attachera, à n'en pas douter, avec la dernière énergie...
Après avoir brillé sur les pelouses, Jean Lauer, micro en main, a endossé le costume de speaker au stade Geoffroy-Guichard, ce qui lui valut son surnom, en forme de clin d'œil : "Jean LauerTF".
Ce 16 janvier 1944, devant quelques 7 000 spectateurs, un doublé du Ligérien Aimé Richier (cinq matchs en vert, cinq buts pour un épatant ratio d'un but par match) aura permis aux Stéphanois de l'entraîneur-joueur, Ignace Tax, de l'emporter sur la marque de deux buts à un aux dépens d'Annéciens, victorieux en Haute-Savoie (2-0), le 3 octobre 1943.
Ignace Tax, habile des deux pieds, aura fait le max pour laisser une trace indélébile de son long passage à l'ASSE. En "claquant". Encore et encore. Et notamment dans cette épreuve pas tout à fait comme les autres qu'est la Coupe de France dont il demeure, à ce jour encore, le finisseur number one sous le maillot vert. En 29 matchs, cet inter droit, formé à Vienne en Autriche, ayant rejoint le Forez en 1936, a en effet trouvé le chemin des filets à 24 reprises. Pour un ratio remarquable de 0,84 but par rencontre. Naturalisé Français, dix-sept capes au compteur, Tax, tour à tour joueur, entraîneur-joueur puis coach, étirera son bail à Saint-Étienne jusqu'en 1953. Seize longues années au cours desquelles iI inscrira 95 buts, se montrant notamment le plus efficace de la Division Nationale en 1939.
Sachez, par ailleurs, qu'aux abords du stade Geoffroy-Guichard, une rue porte aujourd'hui son nom. À proximité du Chaudron, une allée porte également le nom de l'un des ses coéquipiers du jour, Jean Lauer, auteur une semaine auparavant d'un quadruplé face au Stade de Reims d'un certain Albert Batteux, également buteur d'ailleurs (6-2), qui se reconvertit après une brillante carrière sous le maillot vert, riche de 116 matchs et de 57 réalisations, dans le commerce. Il ouvrit plus précisément un magasin d'articles de sport, rue Louis-Braille que fréquentèrent des générations de Stéphanois.
Dans le groupe aligné ce 16 janvier 1944, outre Lauer, Richier et Tax, on relèvera également la présence de Pierre Garonnaire, "le découvreur de talents" et celle de Jean Snella, éducateur incomparable, technicien hors-normes, reconnu par ses pairs. Éminemment respecté, grand pédagogue, ennemi de la manière forte, s'attachant à susciter et recueillir l'adhésion de son groupe plus qu'à lui imposer ses idées, "Monsieur Snella" offrira à l'ASSE le premier de ses dix titres de Champion de France lors de la saison 1956-1957. Il était, ce 14 janvier 1944, l'un des onze Stéphanois alignés par Ignace Tax; "Garo" et Tax ou deux fortes personnalités qui auront assurément marqué l'histoire de l'AS Saint-Étienne.
Il est LE maillot que tout collectionneur, digne de ce nom, se doit de posséder. Une tunique mythique pour un club et une équipe de légende, trustant les trophées, suscitant admiration et sympathie, une popularité et une proximité tout bonnement épatantes. Bien que ce fameux maillot "Manufrance" n'ait pas été porté - pour des raisons réglementaires - lors des mémorables soirées européennes des années 70, il n'en demeure pas moins celui qui aura marqué durablement les esprits. Et aura été mis en scène au cinéma, entre autres, dans la comédie intitulée "3 Zéros" ou la série "OVNI(s)" sur Canal Plus, par le groupe "Mickey 3D" et sa chanson consacrée à Johnny Rep, ou, plus près de nous, l'an dernier, lors de la Fashion Week à Paris.
Dans son édition du vendredi 2 février 1973, "La Dépêche" révéla cet exceptionnel accord de partenariat, unissant deux des fleurons de la ville de Saint-Étienne, capitale du cycle et des armes : l'ASSE et "Manufrance". Cette dernière jouissait d'une solide renommée dans ces secteurs d'activités et rentrait, une fois par an, dans l'intimité de l'immense majorité des familles françaises, via son catalogue dont la sortie était un événement.
"Il s'agit d'une première", se félicita le président Roger Rocher. Et d'ajouter : "hier, nous avons eu une réunion avec les joueurs. Ils ont apposé leur signature." Dans un premier temps, le contrat portera sur les 18 mois à venir. Il sera, plus tard, reconduit avec le succès que l'on sait jusqu'en 1979; lors de cette période faste, outre leurs exceptionnels parcours continentaux, les Verts s'adjugeront trois titres de champion ainsi que trois Coupes de France.
C'est devant 8 032 spectateurs que les hommes de Robert Herbin étrennèrent donc cette nouvelle tenue à l'occasion de la réception de Sedan, le dimanche 4 février 1973. Marquée par le retour à la compétition d'Aimé Jacquet, cette rencontre ne souleva pas les foules. "Ce fut un petit match", commenta, lapidaire, le président Rocher. Le Sphynx s'étonna, pour sa part, de "trente dernières minutes passables. L'équipe s'est soudain désagrégée alors que nous menions 2-0." Deux buts inscrits par Georges Bereta d'un maître coup-franc et Patrick Parizon qui, trois jours jours auparavant, s'était égaré lors d'une sortie en ski de fond au Bessat... En lever de rideau, la réserve l'avait emporté aux dépens de Decize (2-0) grâce à des réalisations signées, excusez du peu, Gérard Janvion et Dominique Rocheteau; le maillot "MF" de ce dernier est exposé au Musée des Verts.
Deux succès avec ce fameux maillot "Manufrance" qui en appelleront bien d'autres...
À l'instar de cet objet présenté dans cette rubrique consacrée aux 90 ans du club, le Musée des Verts a pour objectif de diffuser la grande histoire de l'AS Saint-Étienne. Depuis le 20 décembre 2013 et à travers 1 000 autres objets, le Musée incarne la fierté des supporters et les valeurs d'un territoire. À l'intérieur même du Stade Geoffroy-Guichard, venez découvrir cette riche et passionnante saga. Plus d'informations sur museedesverts.fr ou par téléphone au 04 77 92 31 80.
Quel est ton premier souvenir de foot ?
Au bord des terrains, en Corrèze, là où je suis née ! À Meymac plus précisément ! Avec ma mère et mon frère on suivait mon père qui jouait au football... C'est grâce à lui que j'ai commencé ce sport.
Dans quel club ?
Au C.A Meymac à l'âge de cinq ans. Je n'en garde que des bons souvenirs. J'y allais pour me défouler et pour retrouver mes copains qui étaient avec moi à l'école. Lorsqu'il le fallait, je rejoignais de temps en temps l'équipe féminine du club mais je jouais la plupart du temps avec eux, les garçons.
Quel est ton plus beau souvenir sur un terrain de football ?
J'en ai plusieurs ! Le premier, c'est lorsque j'ai eu la chance de chanter pour la première fois la Marseillaise lors d'un stage en Espagne avec l'équipe de France U17. Ensuite, lorsque j'ai été championne de France Élite contre le PSG avec Montpellier en U19. Ce jour-là, je n'étais pas sur le terrain car je venais de subir une rupture des ligaments croisés mais j'ai ressenti une fierté énorme d'appartenir à ce club.
Je suis Corézienne, le gros club de ma région, c'est l'ASSE.
Et ton plus mauvais souvenir ?
Cette blessure justement ! Quand ça nous tombe dessus, on est éloigné des terrains longtemps... Mentalement, c'est difficile de voir que du jour au lendemain on te porte moins voire plus aucune importance à cause de ta blessure.
Pourquoi avoir choisi l’ASSE cet été ?
L'année dernière j'étais à Albi et lorsque Laurent Mortel m'a appelé pour me proposer un contrat à l'ASSE, je n'ai pas hésité longtemps. Je travaillais à côté du foot à ce moment-là, j'étais APA dans un centre de rééducation et dans des maisons de retraite. L'ASSE me donnait l'opportunité de vivre de ma passion dans un club qui me faisait rêver lorsque j'étais petite. Je suis Corézienne, le gros club de ma région, c'est l'ASSE. Je suis venue voir mes premiers gros matchs, ici, à Geoffroy-Guichard. C'était pour moi une chance de venir à Saint-Étienne !
Comment se passent tes premiers mois de Stéphanoise ?
J'ai pu jouer tous les matchs depuis le début de saison, donc forcément très bien ! En plus, sur le plan collectif, on a fait le travail en restant invaincues jusque-là. J'espère qu'on va continuer sur cette voie.
On ressent vraiment qu'ici, c'est une ville de football.
Comment tu abordes cette deuxième partie d’exercice ?
On le sait, l'objectif, c'est la montée. On a cinq points d'avance, rien n'est fait. Dans le football, tout peut aller très vite dans les deux sens. On se doit d'être sérieuses jusqu'au bout. Sur le plan personnel, j'aimerais continuer à jouer tous les matchs pour aider l'équipe. Le groupe vit bien, c'est l'essentiel. Ça se ressent vraiment sur le terrain.
Pour finir, as-tu un mot pour les supporters ?
Je les remercie ! On ressent vraiment qu'ici, c'est une ville de football. Ça donne le sourire et une force incroyable d'être encouragé comme contre Marseille. Ce jour-là, les supporters nous ont donné la force nécessaire pour aller chercher la victoire. On adorerait les voir aussi nombreux au bord du terrain tous les week-end !
En inscrivant un doublé face à la formidable armada d'Hadjuk Split, "Tintin", présent samedi dernier au Musée des Verts, a contribué - et comment - à écrire l'une des plus belles pages de la riche histoire de l'AS Saint-Étienne. Ce 6 novembre 1974, pour le compte du huitième de finale retour de la Coupe d'Europe des Clubs Champions, Yves Triantafilos, entré à vingt minutes du terme du temps réglementaire, arracha le droit de disputer la prolongation avant, lors de l'extra-time, de sceller le sort de ce match mémorable : les Verts de Robert Herbin et Georges Bereta, battus 4-1 à l'aller, l'emportèrent sur la marque de 5-1. "Tintin", le surnom de l'attaquant forézien, avait décroché la lune. Le "Chaudron" était né. Magique.
Récent vainqueur du Tournoi de Montaigu, membre du groupe Avenir et régulièrement sur les terrains U17 Nationaux, Yanis Mimoun prendra la direction de l'Algérie dans quelques jours.
Le milieu de terrain offensif fait partie des joueurs convoqués par Arezki Remmane, sélectionneur de l'équipe d'Algérie U17, pour le prochain rassemblement des jeunes Verts. Un autre pensionnaire du Centre sportif Robert-Herbin, Luan Gadegbeku, rejoindra de son côté l'Équipe de France U16. Le jeune milieu de terrain de l'ASSE fait partie des 22 joueurs sélectionnés avec l'Équipe de France U16 pour le tournoi de développement UEFA organisé au Portugal dans quelques jours. À cette occasion, Luan Gadegbeku (15 ans) affrontera l'Allemagne, le mercredi 8 février, les Pays-Bas, le vendredi 10, et le Portugal, pays hôte, le lundi 13.
Sérieusement blessé lors de la réception de Sochaux le week-end dernier, Anthony Briançon retrouve le sourire. Le défenseur central des Verts, victime d'une très large entaille au niveau du tibia, poursuit sa convalescence. À très vite, capitaine !