"Pas mal de choses sont à revoir (...). On a pris deux buts face à Annecy mais ils étaient exceptionnels. On espère ne pas revivre ça à chaque match. L’importance, c’est de prendre des points pour faire tourner le compteur, si ça passe par des matches comme celui de samedi dernier, ce n’est pas dérangeant. Maintenant, prendre moins buts, c’est important."
Samedi 11 février
15h : AS Saint-Étienne – Dijon FCO
19h : Stade Lavallois MFC – FC Annecy
SC Bastia – Quevilly Rouen
FC Sochaux-Montbéliard – Havre AC
Chamois Niortais FC – FC Girondins de Bordeaux
Grenoble Foot 38 – Pau FC
Paris FC – Amiens SC
Rodez AF – Nîmes Olympique
EA Guingamp – Valenciennes FC
Lundi 13 février
20h45 : FC Metz – SM Caen
L'ASSE ouvrira le bal à l'occasion de cette 23ème journée de Ligue 2 BKT. La rencontre opposant les Verts au Dijon FCO sera la première à se disputer ce week-end. Après le coup de sifflet final de leur opposition dans le Chaudron, et on l'espère avec la satisfaction du travail accompli, les Stéphanois assisteront ensuite à un multiplex qui coûtera cher en bas du classement. Car si l'ASSE et le DFCO, respectivement 18e et 17e du championnat s'affrontent ce samedi, un autre match mettra aux prises deux équipes en difficulté : celui entre Rodez et Nîmes.
Prochains adversaires des Verts, les Crocos qui ont retrouvé des couleurs récemment se confronteront à un RAF en difficulté, qui n'a plus gagné depuis cinq matchs en L2, mais qui peut compter sur un parcours historique en Coupe de France pour se donner du baume au cœur. Plus tôt dans la semaine, les Ruthénois se sont qualifiés pour les quarts de finale de la compétition sur la pelouse d'Auxerre, pensionnaire de Ligue 1 Uber Eats (2-3). De son côté, Bordeaux, qui vise la montée, pourrait rendre un joli service à l'ASSE en allant s'imposer à Niort, l'actuelle lanterne rouge, qui reste sur un succès face à... Dijon.
Une entame de feu, onze points engrangés au soir de la cinquième journée : tous les voyants étaient au vert en août dernier du côté de la capitale des Ducs de Bourgogne. Ambitieux, les Dijonnais, candidats désignés à l'accession à la Ligue 1 Uber Eats, jouaient alors les tout premiers rôles. Et puis soudain, la belle mécanique s'est enrayée Quatre nuls et six défaites plus loin, le DFCO, au coeur d'un automne de toutes les désillusions, est rentré dans le rang et peine, en dépit de la présence de joueurs d'expérience tels que Baptiste Reynet, Zargo Touré, Jessy Pi ou Didier NDong. Et tarde depuis le 30 août à réenclencher la marche avant. Les hommes d'Omar Daf n'ont ainsi connu l'ivresse de la victoire qu'en deux occasions, face à Laval (5-0) et Valenciennes (2-1) et ont été éliminés prématurément de la Coupe de France par une formation de N2, Saint-Pryvé-Saint-Hilaire (1-1, 3 tab à 2).
Les Bourguignons peinent à s'exporter. Loin du stade Gaston-Gérard où ils présentent un bilan équilibré (4 victoires, 4 partages des points, 4 défaites), les Dijonnais éprouvent des difficultés à imposer leur football et à faire montre d'efficacité. À l'extérieur, ils ont ainsi déjà essuyé sept échecs, ne s'imposant qu'à une seule reprise (1-2) à Metz bien qu'en infériorité numérique et arrachant, par ailleurs, le nul à Grenoble (0-0) et à Pau (0-0) pour un total de 5 points. Le plus faible en l'occurrence de la Ligue 2 BKT.
Lors du match inaugural de cette saison 2022-2023, le transfuge de l'AJ Auxerre où il avait particulièrement brillé, inscrivant 19 buts et délivrant cinq passes décisives lors de l'exercice 2020-2021, avait causé bien des tourments à la défense stéphanoise. Bien que n'ayant pas trouvé le chemin des filets, il avait été déterminant sur les deux buts bourguignons (2-1). L'attaquant du DFCO a réglé la mire à six reprises et comptabilise deux "assists" : des "stats" probantes.
Sorties aériennes, duels, parades, réflexes, commandements, tonicité : Hervé Auguste n'ignore rien de "ce poste si particulier qu'est celui de gardien où la moindre erreur vous saute aux yeux et se paie cash. Il n'y a personne derrière lui pour rattraper le coup. Une faute de main, de jugement, de retard dans la prise de décision et la sanction peut tomber dans l'instant." Courtisé un temps alors qu'il n'était encore qu'un ado par Auxerre et Sochaux, Hervé Auguste, passé entre autres par Louhans-Cuiseaux, entraîné par un certain Alain Michel, éphémère coach des Verts et où il côtoya Patrick Revelles et Christophe Robert, "une fameuse patte gauche", appartient à cette confrérie à nulle autre semblable des gardiens. Et aime à transmettre sa flamme et son vécu, son enthousiasme et son expérience. L'actuel portier des Verts, Gautier Larsonneur, le petit gars du Conquet, pourrait en témoigner, lui qui a bénéficié de ses conseils avisés à Plougonvelin, petite commune du Finistère, dans ce Pays d'Iroise recélant tant et tant de trésors.
Hervé Auguste : "Explosif et très joueur"
"J'étais en charge du spécifique gardiens. Gautier, du haut de ses douze ans, était déjà un mordu. Les séances démarraient à 18h30, le mercredi. Il était sur le terrain dès le début de l'après-midi ! L'été, il s'entraînait sur le sable, au bord de la plage. Croyez-moi, c'est excellent pour renforcer les cuisses ! Il ne lâchait rien dans les "caisses". Il bossait, ne rechignait pas à la tâche. En bon fils de pêcheur, il avait cet état d'esprit, ce sérieux et ce côté perfectionniste. En outre, ses parents - Annaïg et Yannick - l'ont toujours entouré, lui ont offert la possibilité de s'épanouir", confie Hervé Auguste.
Gautier Larsonneur (quatrième au deuxième rang) n'a pas toujours été gardien en témoigne cette photo lors de ses débuts de footballeur.
Et d'ajouter, ne tarissant pas d'éloges à l'égard de Gautier : "Il était déjà dynamique, explosif, tonique. Très joueur également. À ces qualités, vous ajoutez, toujours à l'écoute, en demande, une volonté de progresser, et vous avez un gardien solide, fiable, doté d'un gros tempérament. J'ai le souvenir d'un Festival d'Armor en U17 qu'il avait remporté à lui seul, se distinguant lors de séances de tirs au but et à l'occasion de la finale face à Pontivy (2-0). Au fil des années, il s'est endurci. Les épreuves l'ont forgé. Je pense notamment aux Jeux Olympiques de Tokyo en 2021 auxquels il n'a pas pu prendre part : Brest, en raison de la blessure de Sébastien Cibois, ne l'ayant pas autorisé à se rendre au Japon." Comme une piqûre de rappel, une invitation à une remise en question permanente.
"Il donne de l'impulsion"
Avant de poursuivre : "J'ai en mémoire un match face à Reims lors de sa deuxième saison au Stade brestois en 2017. Il avait écoeuré les attaquants champenois. Ce soir-là, c'était un mur et le Stade s'était imposé (0-1). Il était un relais idéal sur le terrain, de ceux dont on a besoin dans chacune des lignes. Ses performances ne m'ont pas surpris : il avait le potentiel et le mental pour aller plus haut. Et j'en suis très heureux pour lui car c'est un bon gars, rarement blessé, toujours bienveillant et à l'hygiène de vie épatante. Je suis allé le voir en début de saison à Valenciennes, lors de la réception du Havre (1-0, l'unique échec du leader normand). Il donnait de l'impulsion, dégageait une grande assurance et s'éclatait avec Jérémie Janot. Désormais, il a franchi un nouveau palier, a signé dans un club de renom, qui fait rêver. Avant chaque rencontre, je lui envoie un petit mot auquel il me répond et suis avec attention son parcours. Il va participer au maintien des Verts."
Acceptons-en volontiers l'Auguste présage : l'ASSE a manifestement attiré du lourd dans ses filets...
En perte de vitesse, Dijon, flirtant dangereusement avec la zone rouge,file un mauvais coton à l'heure de défier des Verts battus en Gironde dans le temps additionnel (3-2) et rejoints dans les dix dernières minutes à Nice (1-1). Deux matches, certes satisfaisants en termes de contenu mais terriblement frustrants d'un point de vue comptable.
Bien que privés des services de Yannis Salibur, suspendu, et de Mathieu Debuchy, Romain Hamouma et Neven Subotic, blessés, les Stéphanois, en Européens convaincus, se doivent d'enclencher le turbo, afin de s'installer durablement dans le Top 5. Ce sont toutefois les Bourguignons, en dépit des absences de Nayef Aguerd et de Frédéric Sammaritano, qui placent la première accélération et Benjamin Jeannot sur orbite. Stéphane Ruffier s'interpose avec à-propos avant que Loïc Perrin, d'un tacle salvateur, ne fasse obstacle à l'attaquant de pointe dijonnais.
Un coup de semonce sans frais, un avertissement reçu, en revanche, 5 sur 5 par des Ligériens prenant insensiblement la mesure de leur rival. Qui recule et recule encore. Subit sans parvenir à desserrer l'étreinte. L'échéance paraît inéluctable. Le Franco-Écossais, Bobby Allain, d'une parade spectaculaire sur un coup de tête, frappé du sceau de la malice, de Wahbi Khazri, s'évertuera à la retarder mais devra finalement s'incliner sur la reprise victorieuse de Kévin Monnet-Paquet, placé opportunément en embuscade. Les hommes de Jean-Louis Gasset imposent leur jeu et impriment leur tempo à des débats désormais déséquilibrés. Ils doubleront la mise sur un missile de Khazri venant se ficher sous la transversale du portier visiteur, impuissant, avant que Robert Beric, d'un coup de casque sur un service millimétré signé de l'élégant gaucher norvégien Ole Selnaes, signant pour l'occasion sa cinquième passe décisive de la saison, ne parachève un indiscutable et large succès des Verts. Lesquels, à la faveur d'un score de parité entre deux de leurs rivaux directs, Montpellier et Lyon (1-1) en profiteront pour les klaxonner et s'inviter dans leurs échappements en troisième ligne.
L'Europe, une fois encore, ne relève pas d'une douce chimère. Six mois plus tard, le drapeau à damiers s'abaissera sur le museau du bolide vert, échouant au pied du podium à l'issue d'une saison remarquable.
Samedi 22 décembre 2018
À Saint-Étienne (stade Geoffroy-Guichard), AS Saint-Étienne bat Dijon Football Côte d'Or : 3-0 (1-0).
Arbitre : Éric Wattellier; 26 215 spectateurs.
Buts pour Saint-Étienne : Monnet-Paquet (42e), Khazri (64e), Beric (83e).
Avertissements à Saint-Étienne : Polomat (45e), Kolodziejczak (52e), M'Vila (56e), Selnaes (88e).
Avertissements à Dijon : Marie (19e), Said (82e), Balmont (89e).
ASSE. Ruffier - Saliba, Perrin (cap.), Kolodziejczak, Polomat (Nordin, 73e) - Monnet-Paquet, M'Vila, Selnaes - Cabella, Khazri (Diousse, 84e), Diony (Beric, 67e). Entraîneur : Jean-Louis Gasset.
Dijon. Allain - Alphonse, Yambéré, Lautoa, Haddadi (Balmont, 61e) - Abeid, Amalfitano, Marié, Sliti (Said, 72e) - Jeannot (Kwon, 59e), Tavares (cap.). Entraîneur : Olivier Dall'Oglio.
Roger Rocher en imposait. Son charisme parlait pour lui. Et personne ou presque ne pipait mot lorsqu'il avait pris une décision, donné le la, initié tel ou tel projet. Riche du concours d'hommes d'exception à l'instar, entre autres, de Robert Herbin, Pierre Garonnaire ou de Pierre Faurand, fort du soutien de la famille Guichard qui l'avait adoubé et porté à la présidence de l'ASSE en avril 1961, Roger Rocher aura marqué de manière indélébile l'histoire de la maison verte. Avec poigne et avant-gardisme. De l'analyse vidéo première génération aux déplacements par la voie aérienne, en passant par la montée en puissance d'un centre de formation d'excellence accueillant en son sein tout ce que la France et la Navarre comptaient de talents.
Roger Rocher, qui, dix années durant, descendit au fond de la mine au puits Mars, n'ignorait rien de la valeur travail, de la signification profonde de mots tels que labeur, entraide ou sacrifice. Elles lui auront "forgé Ies muscles et la caractère." Il avait l'esprit d'entreprise, l'âme d'un bâtisseur. À la tête du de la Société Forézienne de Travaux Publics, société qu'il avait créée avec Claude, son frère, ou aux commandes de l'ASSE, de l'Association Sportive des Petites Mines ou de l'Olympique de Saint-Étienne, Roger Rocher n'aura eu de cesse d'imprimer sa patte. Avec le succès que l'on sait. Et un palmarès XXL.
"Il était attaché à ce pays minier dont il a défendu l'identité. Il était passionné par cette noble terre. Dix ans de fond : un bail en forme de bagne avec pourtant l'éclair de l'amitié découverte des instants de solidarité à jamais gravés. À vingt-sept ans, Roger Rocher connaît les hommes, il les a vus à l'œuvre. Il a peiné avec eux. Comme eux. Cela ne s'apprend dans aucune université. il a son brevet d'humanité", peut-on lire dans l'ouvrage "Roger Rocher, la passion en vert et contre tout" que Georges Ziegler lui a consacré.
Tout au long de ses vingt-et-une années de présidence, Roger Rocher, grâce à des générations de joueurs exceptionnelles, des entraîneurs de tout premier plan et des décisions stratégiques novatrices et pertinentes, aura fait de l'ASSE un club performant, reconnu, escorté d'une popularité qui, près d'un demi-siècle plus tard, est toujours présente.
Avant, hélas, entre ingratitude et rancœur, humiliation et trahison de chuter et de connaître les affres de la prison, au début des années 80 dans le cadre de l'affaire dite de "la caisse noire". Roger Rocher ne craquera pas. "Cette vie carcérale, je l'ai supportée comme tout le reste. Pendant ces quatre mois de détention, j'ai fait le bilan de ma vie (...) Après en être sorti sans trop de dégâts, je voulais reconstruire ma vie avec courage. Chaque jour qui vient efface celui qui passe. Cela s'appelle vivre."
Une vitrine lui est consacrée au Musée des Verts dans laquelle est présentée, entre autres, l'une de ses pipes.
À l'instar de cet objet présenté dans cette rubrique consacrée aux 90 ans du club, le Musée des Verts a pour objectif de diffuser la grande histoire de l'AS Saint-Étienne. Depuis le 20 décembre 2013 et à travers 1 000 autres objets, le Musée incarne la fierté des supporters et les valeurs d'un territoire. À l'intérieur même du Stade Geoffroy-Guichard, venez découvrir cette riche et passionnante saga. Plus d'informations sur museedesverts.fr ou par téléphone au 04 77 92 31 80.
Le palmarès des Verts, sous la présidence de Roger Rocher, est tout bonnement bluffant. Outre une demi-finale de Coupe d'Europe des Clubs Champions en 1975 ainsi que la légendaire finale de Glasgow en 1976, toujours face au Bayern de Munich, l'ASSE a, lors de ces vingt-et-une années (1961-1982) remporté neuf de ses dix titres de Champion de France (1963-1964, 1966-1967, 1967-1968, 1968-1969, 1969-1970, 1973-1974, 1974-1975, 1975-1976, 1980-1981) ainsi que six Coupes de France (1962, 1968, 1970, 1974, 1975, 1977). Vous avez dit : exceptionnel !
Quel est ton premier souvenir de foot ?
C’est regarder mon père jouer au foot le dimanche en famille ! On passait tous nos week-ends au bord des terrains. Ç'a été comme une évidence pour moi de suivre le même chemin.
Tu peux me parler de ton premier club ?
C'était l’AS Chavanay. J’ai joué dans ce club avec les garçons jusqu’à l’âge de 14 ans. Tous ces tournois, tous ces matchs... Je n’en garde que de bons souvenirs !
Justement quel est ton meilleur souvenir sur les terrains ?
C’est sûrement ma première sélection en Équipe de France U16 ! Porter ce maillot, c’est une sensation particulière. J'ai aussi eu la chance de jouer l’Euro en République Tchèque. Ce sont des expériences qui laissent de beaux souvenirs.
Et un souvenir plus malheureux ?
La défaite en demi-finale de l’Euro U19 l’été dernier, même si c’était une très belle expérience dans la globalité. Se faire éliminer aux portes de la finale était une immense déception.
Parlons un peu de ton club... Qu’est ce que représente l’ASSE pour toi ?
Venant d’une famille de supporters stéphanois, j’ai toujours supporté l'ASSE. On allait souvent au stade voir des matchs, alors jouer pour ce club est quelque chose de magique au quotidien.
Douze matchs, douze succès... Quel regard tu portes sur votre première partie de saison ?
On a fait une bonne première partie de saison en remportant tous nos matchs et en gardant notre sérieux. La victoire contre Marseille avait d'ailleurs une saveur particulière.
Sur un plan personnel notamment...
J’étais très heureuse de pouvoir débuter ce match. Il y avait un peu d’appréhension parce que c’était une rencontre à enjeu et qu’il y avait beaucoup de monde au bord du terrain. Mais le résultat final était positif, j'en étais très contente.
Comment tu abordes cette deuxième partie d’exercice ?
J’espère qu’on fera aussi bien que la première partie de saison et qu’on arrivera à monter en D1 Arkema. On sait que ce ne sera pas facile et qu’il faut continuer de travailler pour pouvoir y accéder.
Qu’est-ce qu’on peut te souhaiter ?
Sur le plan collectif, de continuer sur cette lancée et de réussir à atteindre notre objectif de montée. Sur le plan personnel, de continuer à apprendre et à progresser.
Pour finir, un mot pour le Peuple Vert ?
Un grand merci pour leur soutien, leurs encouragements et leur présence lors des matchs notamment contre Marseille ! Ils sont d'une grande aide pour nous sur le terrain !
Formé au Centre sportif Robert-Herbin, Jibril Othman disputera prochainement la Coupe d’Afrique des Nations U20 en Égypte.
Auteur de 7 buts depuis le début de saison, 4 en National 3 et 3 avec les U19 Nationaux, Jibril Othman s’apprête à retrouver sa sélection U20 de Tunisie. L’attaquant fait en effet partie de la liste de joueurs convoquée pour la Coupe d’Afrique des Nations U20. Les jeunes Aigles de Carthage affronteront la Gambie (le 21 février), le Bénin (le 24 février) et la Zambie (le 27 février) à l’occasion de la phase de groupes.
Le numéro 10 au 139 matchs en Vert, vainqueur de la Coupe de la Ligue 2013, sera en séance de dédicaces au Musée des Verts ce samedi, de 13h30 à 14h30 avant #ASSEDFCO !
